Tiassalé - Une délégation du secrétariat général de l’intersyndicale du secteur éducation-formation (ISEF) a rencontré vendredi ses militants de Tiassalé au centre polyvalent du lycée moderne.
Selon M. Sérikpa Dagou, membre de la délégation, le but de la rencontre est de mobiliser tous les personnels du secteur éducation-formation en vue de la grève prévue pour le 04 février prochain.
"La médiation menée par les chefs religieux et traditionnels ainsi que les parents d’élèves a, jusqu’à fin janvier 2013, pour amener le gouvernement à accéder à nos revendications", a indiqué Sérikpa Dagou tout en rappelant ces revendications qui sont essentiellement d’ordre salarial.
Il s’agit, entre autres, du paiement de la totalité des reliquats de bonification indiciaire, d’indemnités de logement et du reclassement des personnels enseignants avec le rappel y afférent.
M. Sérikpa Dagou a dit que l’intersyndicale ne veut ni se mettre à dos l’opinion publique, ni sacrifier ses acquis obtenus de haute lutte.
Il a demandé à tous les militants de Tiassalé de se préparer à des mois difficiles, à compter de fin
février car, a-t-il prévenu, au bout de l’arrêt de travail de dix jours renouvelable, ils doivent s’attendre a des ponctions sur les salaires ou pire, à des suspensions de salaires.
"C’est cela le prix à payer", a reconnu l’émissaire de l’ISEF à Tiassalé, invitant ses collègues à faire leurs provisions dès la fin du mois de janvier pour ne pas être surpris.
Selon M. Sérikpa Dagou, membre de la délégation, le but de la rencontre est de mobiliser tous les personnels du secteur éducation-formation en vue de la grève prévue pour le 04 février prochain.
"La médiation menée par les chefs religieux et traditionnels ainsi que les parents d’élèves a, jusqu’à fin janvier 2013, pour amener le gouvernement à accéder à nos revendications", a indiqué Sérikpa Dagou tout en rappelant ces revendications qui sont essentiellement d’ordre salarial.
Il s’agit, entre autres, du paiement de la totalité des reliquats de bonification indiciaire, d’indemnités de logement et du reclassement des personnels enseignants avec le rappel y afférent.
M. Sérikpa Dagou a dit que l’intersyndicale ne veut ni se mettre à dos l’opinion publique, ni sacrifier ses acquis obtenus de haute lutte.
Il a demandé à tous les militants de Tiassalé de se préparer à des mois difficiles, à compter de fin
février car, a-t-il prévenu, au bout de l’arrêt de travail de dix jours renouvelable, ils doivent s’attendre a des ponctions sur les salaires ou pire, à des suspensions de salaires.
"C’est cela le prix à payer", a reconnu l’émissaire de l’ISEF à Tiassalé, invitant ses collègues à faire leurs provisions dès la fin du mois de janvier pour ne pas être surpris.
