Ce dimanche, le Royal Bafokeng stadium de Rustenburg sera le témoin d’un grand derby ouest-africain. Le quart de finale qui est certainement la plus grosse affiche footballistique de cette 29ième CAN Orange Afrique du Sud 2013. En effet, la Côte d’Ivoire, grandissime favorite de cette édition, croise le fer avec un autre géant ouest-africain, le Nigéria. Une rencontre remplie de symboles et certainement qui sera riche en émotions. Les Super Eagles, de retour à la CAN ont cravaché dur dans le groupe C pour accrocher le deuxième ticket qualificatif pour ce second tour. Absent au dernier championnat en Guinée Equatoriale et au Gabon, le Nigeria, double vainqueur de la CAN (1980 et 1994) revient en nourrissant le secret espoir d’accrocher une troisième étoile à sa vareuse. Emmenée par son ancien capitaine, Stephen Keshi, vainqueur de la Côte d’Ivoire en 1994 et champion d’Afrique la même année, cette équipe voudra surprendre des Eléphants qu’il n’arrive plus à battre depuis cette date. Oui, depuis cette demi-finale perdue en Tunisie contre les Super Eagles, le Nigeria n’a plus jamais battu la Côte d’Ivoire.
Eléphants, évitez la provocation
Le match entre Ivoiriens et Nigérians a commencé déjà hors du terrain. Sur la toile, un imposteur se faisant passer pour Eboué Emmanuel sur son compte twitter, place des propos désobligeants à l’endroit des Super Eagles. Toute chose que le joueur et le chargé de la communication de l’équipe ivoirienne ont catégoriquement démentie. N’empêche. Cela a pour but de chauffer à blanc les esprits pour rendre ce match plus tendu. Sabri Lamouchi et ses Eléphants doivent comprendre que c’est un message de provocation qui est loin d’être anodin. En tout cas, les pachydermes doivent s’attendre à un match difficile et certainement haché. En face, ils auront le Nigéria mais surtout son entraîneur, Stephen Keshi. Il était de cette équipe qui avait battu la Côte d’Ivoire aux tirs au but (4-2) après un match nul 2-2. Mais pour y parvenir, Keshi et ses camarades ont eu recours à la violence. Benedict Ben Iroha avait blessé Tiéhi Joël et Abdoulaye Traoré (les deux meilleurs de l’époque) pour affaiblir une équipe ivoirienne qui a mené par deux fois au score ce mercredi 6 avril 1994. Aujourd’hui, Keshi est sur le banc et la Côte d’Ivoire en face à deux joueurs incontournables. Yaya Touré et Gervinho. Il faut craindre que les Nigérians cherchent à les éliminer physiquement pour déstabiliser le groupe de Sabri Lamouchi. Ils vont certainement donner dans la provocation et tenter d’en tirer le maximum de profit. Aux Ivoiriens de rester vigilants.
Eléphants, évitez la provocation
Le match entre Ivoiriens et Nigérians a commencé déjà hors du terrain. Sur la toile, un imposteur se faisant passer pour Eboué Emmanuel sur son compte twitter, place des propos désobligeants à l’endroit des Super Eagles. Toute chose que le joueur et le chargé de la communication de l’équipe ivoirienne ont catégoriquement démentie. N’empêche. Cela a pour but de chauffer à blanc les esprits pour rendre ce match plus tendu. Sabri Lamouchi et ses Eléphants doivent comprendre que c’est un message de provocation qui est loin d’être anodin. En tout cas, les pachydermes doivent s’attendre à un match difficile et certainement haché. En face, ils auront le Nigéria mais surtout son entraîneur, Stephen Keshi. Il était de cette équipe qui avait battu la Côte d’Ivoire aux tirs au but (4-2) après un match nul 2-2. Mais pour y parvenir, Keshi et ses camarades ont eu recours à la violence. Benedict Ben Iroha avait blessé Tiéhi Joël et Abdoulaye Traoré (les deux meilleurs de l’époque) pour affaiblir une équipe ivoirienne qui a mené par deux fois au score ce mercredi 6 avril 1994. Aujourd’hui, Keshi est sur le banc et la Côte d’Ivoire en face à deux joueurs incontournables. Yaya Touré et Gervinho. Il faut craindre que les Nigérians cherchent à les éliminer physiquement pour déstabiliser le groupe de Sabri Lamouchi. Ils vont certainement donner dans la provocation et tenter d’en tirer le maximum de profit. Aux Ivoiriens de rester vigilants.