Dimanche 3 février, la Côte d’Ivoire affronte le Nigeria en quarts de finale à Rustenburg. Depuis le début de la compétition, le sélectionneur Sabri Lamouchi insiste sur l’esprit de groupe qui règne au sein des Eléphants et évite de citer des joueurs en particulier. C’est désormais un groupe qui est à recherche d’un deuxième sacre après celui de 1992, et qui veut absolument effacer son échec de 2012 face à la Zambie en finale.
Un quart de finale capital. Impossible de définir autrement la nouvelle confrontation de la Côte d’Ivoire face au Nigeria, deux grandes nations du football africain. Les Eléphants, qui ont battu les Super Eagles lors de leur dernière rencontre au Ghana lors de la CAN 2008, vont tenter de continuer leur parcours en comptant avant tout sur leur collectif.
Didier Drogba : « A partir du moment où l’équipe gagne, je suis le plus heureux »
Le sélectionneur ivoirien Sabri Lamouchi évite depuis le début de la compétition de focaliser sur la pleiade de stars que compte les Eléphants. Tous ses discours tournent autour du collectif. Même Didier Drogba, qui avait été mis sur le banc en début de rencontre contre la Tunisie, a confirmé ce nouvel état d’esprit. « Je ne suis pas obligé d’être sur le terrain pour que l’équipe joue bien. Ce sont les choix du coach et on les accepte pour le bien du groupe. Je ne suis pas surpris. A partir du moment où l’équipe gagne, je suis le plus heureux », avait lancé le nouveau joueur de Galatasaray.
« Didier (Drogba) est en net progrès et travaille énormément, comme le reste du groupe. On va essayer d’aligner la meilleure équipe possible face au Nigéria. On ne changera rien dans la manière d’aborder les matches. Ce que fait Didier, ce que fait chaque joueur, est essentiel pour la suite de l’aventure », insiste Sabri Lamouchi.
« Nous avons eu de la chance de prendre des points contre le Togo et nous avons mieux maîtrisé notre deuxième match contre la Tunisie », reconnaît Lamouchi. « Lors de notre troisième rencontre, nous avons assisté à une réaction d’orgueil de la part des Algériens, qui ne semblaient pas vouloir accepter la défaite. Mais j’ai aussi vu mon groupe mettre en avant le collectif et c’est très important pour la suite », explique le sélectionneur.
D’ailleurs, le Stéphanois Max-Alain Gradel, qui n’a pas été aligné contre les Fennecs, confirme : « Les vingt-trois joueurs méritent de jouer. Comme les autres, je suis prêt à affronter le Nigeria et à représenter avant tout les couleurs de la Côte d’Ivoire. » L’ambiance quelque peu délétère qui avait prévalu lors de la CAN 2012 est désormais oubliée.
« Tout le monde donne son maximum pour le partenaire »
« Le coach a instauré le respect au sein du groupe. C’est une grande différence par rapport à l’année dernière. Tous les joueurs sont confiants. Tout cela change énormément le comportement sur le terrain car on voit que tout le monde donne son maximum pour le partenaire. C’est une bonne année pour nous et j’espère que cela va fonctionner », commente Max-Alain Gradel. Le temps de la discorde est désormais un mauvais souvenir. Une année après l’échec face à la Zambie, les Eléphants sont de nouveau en position de conquérir le titre.
« Cela nous est resté en travers de la gorge. Heureusement pour nous, il y a une deuxième CAN qui est arrivée assez rapidement derrière. Ce qui nous a soulagés et permis d’oublier cet échec. Désormais, nous sommes tous concentrés et cette année, c’est un groupe qui revient plus fort pour enfin gagner cette coupe », avoue Gradel.
Un quart de finale capital. Impossible de définir autrement la nouvelle confrontation de la Côte d’Ivoire face au Nigeria, deux grandes nations du football africain. Les Eléphants, qui ont battu les Super Eagles lors de leur dernière rencontre au Ghana lors de la CAN 2008, vont tenter de continuer leur parcours en comptant avant tout sur leur collectif.
Didier Drogba : « A partir du moment où l’équipe gagne, je suis le plus heureux »
Le sélectionneur ivoirien Sabri Lamouchi évite depuis le début de la compétition de focaliser sur la pleiade de stars que compte les Eléphants. Tous ses discours tournent autour du collectif. Même Didier Drogba, qui avait été mis sur le banc en début de rencontre contre la Tunisie, a confirmé ce nouvel état d’esprit. « Je ne suis pas obligé d’être sur le terrain pour que l’équipe joue bien. Ce sont les choix du coach et on les accepte pour le bien du groupe. Je ne suis pas surpris. A partir du moment où l’équipe gagne, je suis le plus heureux », avait lancé le nouveau joueur de Galatasaray.
« Didier (Drogba) est en net progrès et travaille énormément, comme le reste du groupe. On va essayer d’aligner la meilleure équipe possible face au Nigéria. On ne changera rien dans la manière d’aborder les matches. Ce que fait Didier, ce que fait chaque joueur, est essentiel pour la suite de l’aventure », insiste Sabri Lamouchi.
« Nous avons eu de la chance de prendre des points contre le Togo et nous avons mieux maîtrisé notre deuxième match contre la Tunisie », reconnaît Lamouchi. « Lors de notre troisième rencontre, nous avons assisté à une réaction d’orgueil de la part des Algériens, qui ne semblaient pas vouloir accepter la défaite. Mais j’ai aussi vu mon groupe mettre en avant le collectif et c’est très important pour la suite », explique le sélectionneur.
D’ailleurs, le Stéphanois Max-Alain Gradel, qui n’a pas été aligné contre les Fennecs, confirme : « Les vingt-trois joueurs méritent de jouer. Comme les autres, je suis prêt à affronter le Nigeria et à représenter avant tout les couleurs de la Côte d’Ivoire. » L’ambiance quelque peu délétère qui avait prévalu lors de la CAN 2012 est désormais oubliée.
« Tout le monde donne son maximum pour le partenaire »
« Le coach a instauré le respect au sein du groupe. C’est une grande différence par rapport à l’année dernière. Tous les joueurs sont confiants. Tout cela change énormément le comportement sur le terrain car on voit que tout le monde donne son maximum pour le partenaire. C’est une bonne année pour nous et j’espère que cela va fonctionner », commente Max-Alain Gradel. Le temps de la discorde est désormais un mauvais souvenir. Une année après l’échec face à la Zambie, les Eléphants sont de nouveau en position de conquérir le titre.
« Cela nous est resté en travers de la gorge. Heureusement pour nous, il y a une deuxième CAN qui est arrivée assez rapidement derrière. Ce qui nous a soulagés et permis d’oublier cet échec. Désormais, nous sommes tous concentrés et cette année, c’est un groupe qui revient plus fort pour enfin gagner cette coupe », avoue Gradel.