Sidy Diallo encense Lamouchi et accuse les joueurs
Le président de la Fédération ivoirienne de football (Fif) a accordé une interview depuis l’Afrique du Sud au quotidien gouvernmental, Ferternité Matin. Interview dans laquelle Sidy Diallo situe les responsabilités, après l’élimination prématurée des Eléphants à la Can 2013. Pour lui, la Côte d’Ivoire, grande favorite à la 29ème édition de la grand’messe du football africain, est sortie en quarts de finale par la faute des joueurs. «L’équipe était bien préparée mais sur le terrain, les joueurs ont évolué en dessous de leur valeur habituelle. (…) Objectivement, à aucun moment, je n’ai senti cette vivacité, cette solidarité, cette générosité dans l’effort et cette rage de vaincre chez mes joueurs», a-t-il-tancé. Le président de la Fif a également souligné que l’entraîneur des Eléphants est irréprochable, après cette énième débâcle. «(…) Je voudrais indiquer qu’au soir de la défaite, joueurs, encadreurs et membres du Comité directeur de la Fif, avons, de manière unanime, reconnu le travail abattu par l’entraîneur», a-t-il soutenu. Avant de traduire sa fierté à l’endroit du coach de la Côte d’Ivoire. «Je suis fier de Lamouchi. Je ne peux pas lui demander à la fois d’entraîner et de jouer à la place de tel ou tel joueur», a déclaré Sidy Diallo. Qui a fait savoir que le changement d’entraîneur n’est pas à l’ordre du jour. «Changer d’entraîneur actuellement ne nous mènerait nulle part», a-t-il insisté. Pour le patron du football ivoirien, Sabri Lamouchi est l’homme de la situation. Cet entraîneur permettra à la Côte d’Ivoire de rebondir. «Sabri Lamouchi nous convient et nous allons poursuivre l’aventure avec lui. J’ai horreur de l’éternel recommencement. Limoger le coach à chaque échec n’est pas une sage décision», a-t-il affirmé.
R. Dibi
Le président de la Fédération ivoirienne de football (Fif) a accordé une interview depuis l’Afrique du Sud au quotidien gouvernmental, Ferternité Matin. Interview dans laquelle Sidy Diallo situe les responsabilités, après l’élimination prématurée des Eléphants à la Can 2013. Pour lui, la Côte d’Ivoire, grande favorite à la 29ème édition de la grand’messe du football africain, est sortie en quarts de finale par la faute des joueurs. «L’équipe était bien préparée mais sur le terrain, les joueurs ont évolué en dessous de leur valeur habituelle. (…) Objectivement, à aucun moment, je n’ai senti cette vivacité, cette solidarité, cette générosité dans l’effort et cette rage de vaincre chez mes joueurs», a-t-il-tancé. Le président de la Fif a également souligné que l’entraîneur des Eléphants est irréprochable, après cette énième débâcle. «(…) Je voudrais indiquer qu’au soir de la défaite, joueurs, encadreurs et membres du Comité directeur de la Fif, avons, de manière unanime, reconnu le travail abattu par l’entraîneur», a-t-il soutenu. Avant de traduire sa fierté à l’endroit du coach de la Côte d’Ivoire. «Je suis fier de Lamouchi. Je ne peux pas lui demander à la fois d’entraîner et de jouer à la place de tel ou tel joueur», a déclaré Sidy Diallo. Qui a fait savoir que le changement d’entraîneur n’est pas à l’ordre du jour. «Changer d’entraîneur actuellement ne nous mènerait nulle part», a-t-il insisté. Pour le patron du football ivoirien, Sabri Lamouchi est l’homme de la situation. Cet entraîneur permettra à la Côte d’Ivoire de rebondir. «Sabri Lamouchi nous convient et nous allons poursuivre l’aventure avec lui. J’ai horreur de l’éternel recommencement. Limoger le coach à chaque échec n’est pas une sage décision», a-t-il affirmé.
R. Dibi