Joël N’Guessan, porte parole du Rdr était face à la presse hier jeudi 7 février 2013 au siège de ce parti à la Rue Lepic à Cocody. Il s’est prononcé sur plusieurs points de l’actualité sociopolitique.
Le ministre Joël N’guessan, porte-parole du Rassemblement des républicains (Rdr) a animé une conférence de presse hier jeudi 7 février où il a passé en revue plusieurs points chauds de l’actualité politique nationale. Sur la question de la mise en liberté des ex-barons de l’ex-parti au pouvoir et la prise d’une nouvelle loi d’amnistie revendiqués par les pro-Gbagbo et le Fpi contre lesquelles le gouvernement s’opposeraient, parce qu’il ne veut pas la paix, le conférencier a indiqué que c’est de l’intoxication. Son parti, a-t-il dit, dit non à cette libération et à cette loi. Parce que les pro-Gbagbo doivent répondre de leurs actes. Cela ne lui a pas empêché de féliciter le gouvernement d’avoir entamé le dialogue avec le Fpi. Joël N’Guessan a par ailleurs salué l’acte de grandeur du Front populaire ivoirien en acceptant de discuter avec le gouvernement. Selon lui, avec plus d’efforts, les deux partis peuvent trouver un terrain d’attente. Cependant, il n’a pas manqué de demander au gouvernement de faire attention. Parce qu’il ne doit pas céder facilement à certaines revendications telles que la prise d’une nouvelle loi sur l’amnistie, la libération des pro-Gbagbo incarcérés sans jugement, la rencontre Ado-Gbagbo. Le porte-parole du Rdr a levé un coin de voile sur la fronde sociale devenue récurrente ces derniers jours. A l’entendre, ce sont les militants de l’ex-parti au pouvoir qui serait derrière ces revendications syndicales. Ce serait leur nouvelle trouvaille après leur échec par la voie des armes. Au dire de Joël N’Guessan ces grévistes veulent créer un génocide intellectuel. Parce qu’après avoir bénéficier de la formation, ces derniers veulent empêcher les autres d’en bénéficier. Le dossier de l’arrestation du commandant Abéhi n’a pas été occulté. Il a, à cet effet, félicité l’Etat ghanéen pour sa collaboration avec les autorités ivoiriennes. Aussi a-t-il encouragé le gouvernement ivoirien à poursuivre ses actions afin d’extrader tous ceux qui seraient contre le retour de la paix en Côte d’Ivoire. Joël N’Guessan fait cas du prochain meeting de la Jfpi prévu très prochainement à la place Cp1 de Yopougon. Pour lui, il n’est pas question de laisser ce meeting se tenir. Car en le faisant, c’est remuer le couteau dans la plaie après tous les tristes souvenirs de la crise postélectorale. « Tenir ce meeting, c’est comme si c’était une insulte à la mémoire des disparus de la crise postélectorale », a-t-il insisté. En somme, le conférencier a déclaré que son parti était d’accord pour les sanctions que le gouvernement compte prendre contre les grévistes en accusant encore une fois le Fpi d’avoir une main occulte derrière.
Le ministre Joël N’guessan, porte-parole du Rassemblement des républicains (Rdr) a animé une conférence de presse hier jeudi 7 février où il a passé en revue plusieurs points chauds de l’actualité politique nationale. Sur la question de la mise en liberté des ex-barons de l’ex-parti au pouvoir et la prise d’une nouvelle loi d’amnistie revendiqués par les pro-Gbagbo et le Fpi contre lesquelles le gouvernement s’opposeraient, parce qu’il ne veut pas la paix, le conférencier a indiqué que c’est de l’intoxication. Son parti, a-t-il dit, dit non à cette libération et à cette loi. Parce que les pro-Gbagbo doivent répondre de leurs actes. Cela ne lui a pas empêché de féliciter le gouvernement d’avoir entamé le dialogue avec le Fpi. Joël N’Guessan a par ailleurs salué l’acte de grandeur du Front populaire ivoirien en acceptant de discuter avec le gouvernement. Selon lui, avec plus d’efforts, les deux partis peuvent trouver un terrain d’attente. Cependant, il n’a pas manqué de demander au gouvernement de faire attention. Parce qu’il ne doit pas céder facilement à certaines revendications telles que la prise d’une nouvelle loi sur l’amnistie, la libération des pro-Gbagbo incarcérés sans jugement, la rencontre Ado-Gbagbo. Le porte-parole du Rdr a levé un coin de voile sur la fronde sociale devenue récurrente ces derniers jours. A l’entendre, ce sont les militants de l’ex-parti au pouvoir qui serait derrière ces revendications syndicales. Ce serait leur nouvelle trouvaille après leur échec par la voie des armes. Au dire de Joël N’Guessan ces grévistes veulent créer un génocide intellectuel. Parce qu’après avoir bénéficier de la formation, ces derniers veulent empêcher les autres d’en bénéficier. Le dossier de l’arrestation du commandant Abéhi n’a pas été occulté. Il a, à cet effet, félicité l’Etat ghanéen pour sa collaboration avec les autorités ivoiriennes. Aussi a-t-il encouragé le gouvernement ivoirien à poursuivre ses actions afin d’extrader tous ceux qui seraient contre le retour de la paix en Côte d’Ivoire. Joël N’Guessan fait cas du prochain meeting de la Jfpi prévu très prochainement à la place Cp1 de Yopougon. Pour lui, il n’est pas question de laisser ce meeting se tenir. Car en le faisant, c’est remuer le couteau dans la plaie après tous les tristes souvenirs de la crise postélectorale. « Tenir ce meeting, c’est comme si c’était une insulte à la mémoire des disparus de la crise postélectorale », a-t-il insisté. En somme, le conférencier a déclaré que son parti était d’accord pour les sanctions que le gouvernement compte prendre contre les grévistes en accusant encore une fois le Fpi d’avoir une main occulte derrière.
