Abidjan - Le partie Liberté et démocratie pour la République (LIDER, opposition) et une dizaine d’organisations de la société civile ivoirienne se sont prononcé vendredi en faveur d’une réforme de la Commission électorale indépendante (CEI), jugeant caduque "la composition consensuelle actuelle de cette institution, qui est dérogatoire à la constitution et découle des accords de Pretoria".
Lors d’une rencontre avec le président de LIDER, Mamadou Koulibaly, au siège de ce parti à Abidjan, ces organisations, ont insisté sur "la nécessité d’une réforme de la loi électorale en Côte d’Ivoire d’une part, et de la Commission électorale indépendante (CEI) d’autre part", note un communiqué des organisations dont copie a été transmise à l’AIP.
"La mission de la CEI dans sa composition consensuelle actuelle qui est dérogatoire à la Constitution et découle des Accords de Pretoria, est terminée", a notamment estimé Coulibaly Tiohozon Ibrahim, président du Réseau Ouest Africain pour l’édification de la paix (WANEP- CI), l’une des structures de cette plateforme.
Des mesures qui nécessitent " une volonté politique forte, afin de doter la Côte d’Ivoire d’une institution plus forte, plus professionnelle et plus crédible", selon les Coordonnateurs du Regroupement des acteurs ivoiriens des droits humains (RAIDH) et de la Coalition de la société civile pour la paix et le développement démocratique en Côte d’Ivoire (COSOPCI), respectivement Bamba Sindou et Traoré Wodjo Fini.
La CEI, dans sa composition actuelle, est regroupe les signataires de l’accord de Linas-Marcousis, signé en janvier 2003, entre les principaux partis ivoiriens, ainsi que les mouvements rebelles, suite à l’éclatement de la crise militaro-politique du 19 septembre 2002. Mais la commission a pu être mise en place après les accords de Prétoria (Afrique du Sud), conclu en janvier 2003 entre les signataires du précédent accord, précise-t-on.
"Le Président de LIDER, le Professeur Mamadou Koulibaly, tout en félicitant et remerciant la société civile pour cette initiative, a salué la convergence des points de vue développés par la délégation de ces organisations et ceux de son parti en ce qui concerne la nécessité d’une réforme de la loi électorale et de la CEI", souligne le communiqué.
Cette rencontre est la première étape d’une série de visites que ces organisations de la société civile entendent rendre à "toutes les parties prenantes du processus politique et démocratique en Côte d’Ivoire, notamment les partis politiques, les syndicats, la presse et les institutions nationales et internationales, les représentations diplomatiques".
Lors d’une rencontre avec le président de LIDER, Mamadou Koulibaly, au siège de ce parti à Abidjan, ces organisations, ont insisté sur "la nécessité d’une réforme de la loi électorale en Côte d’Ivoire d’une part, et de la Commission électorale indépendante (CEI) d’autre part", note un communiqué des organisations dont copie a été transmise à l’AIP.
"La mission de la CEI dans sa composition consensuelle actuelle qui est dérogatoire à la Constitution et découle des Accords de Pretoria, est terminée", a notamment estimé Coulibaly Tiohozon Ibrahim, président du Réseau Ouest Africain pour l’édification de la paix (WANEP- CI), l’une des structures de cette plateforme.
Des mesures qui nécessitent " une volonté politique forte, afin de doter la Côte d’Ivoire d’une institution plus forte, plus professionnelle et plus crédible", selon les Coordonnateurs du Regroupement des acteurs ivoiriens des droits humains (RAIDH) et de la Coalition de la société civile pour la paix et le développement démocratique en Côte d’Ivoire (COSOPCI), respectivement Bamba Sindou et Traoré Wodjo Fini.
La CEI, dans sa composition actuelle, est regroupe les signataires de l’accord de Linas-Marcousis, signé en janvier 2003, entre les principaux partis ivoiriens, ainsi que les mouvements rebelles, suite à l’éclatement de la crise militaro-politique du 19 septembre 2002. Mais la commission a pu être mise en place après les accords de Prétoria (Afrique du Sud), conclu en janvier 2003 entre les signataires du précédent accord, précise-t-on.
"Le Président de LIDER, le Professeur Mamadou Koulibaly, tout en félicitant et remerciant la société civile pour cette initiative, a salué la convergence des points de vue développés par la délégation de ces organisations et ceux de son parti en ce qui concerne la nécessité d’une réforme de la loi électorale et de la CEI", souligne le communiqué.
Cette rencontre est la première étape d’une série de visites que ces organisations de la société civile entendent rendre à "toutes les parties prenantes du processus politique et démocratique en Côte d’Ivoire, notamment les partis politiques, les syndicats, la presse et les institutions nationales et internationales, les représentations diplomatiques".