Divo, La direction régionale de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant de Divo a initié, dans la soirée de samedi, au quartier Dialogue, une séance de sensibilisation des populations aux méfaits des mutilations génitales féminines (MGF).
Cette séance de sensibilisation s’est opérée à travers à travers la projection d’un film et des diapositifs montrant les méfaits de cette « pratique néfaste aux conséquences désastreuses ». Entre autres conséquences, la mutilation génitale féminine ou l’excision peut, en effet, entraîner la stérilité, le VIH/SIDA et la mort par hémorragie.
La directrice régionale, Sékongo Mariama, a donc invité les populations, notamment les communautés dans lesquelles elles ont cours à abandonner cette pratique qui présente de réels dangers pour la femme. Elle a exhorté toutes les personnes ayant connaissance de l’existence d’un réseau d’exciseuses à aider ses services à le démanteler afin de bouter cette « pratique nocive » hors de la région du Lôh-Djiboua.
« Aidez-nous à protéger nos filles et nos sœurs », a-t-elle sollicité, saluant l’action des ONG, notamment, l’ONG « Femmes Actives » et l’ONG « Bingnet-Pah » (le bonheur est arrivé en langue guéré), qui les appuient efficacement dans cette lutte visant à éradiquer le phénomène de l’excision.
(AIP)
rkk/nf
Cette séance de sensibilisation s’est opérée à travers à travers la projection d’un film et des diapositifs montrant les méfaits de cette « pratique néfaste aux conséquences désastreuses ». Entre autres conséquences, la mutilation génitale féminine ou l’excision peut, en effet, entraîner la stérilité, le VIH/SIDA et la mort par hémorragie.
La directrice régionale, Sékongo Mariama, a donc invité les populations, notamment les communautés dans lesquelles elles ont cours à abandonner cette pratique qui présente de réels dangers pour la femme. Elle a exhorté toutes les personnes ayant connaissance de l’existence d’un réseau d’exciseuses à aider ses services à le démanteler afin de bouter cette « pratique nocive » hors de la région du Lôh-Djiboua.
« Aidez-nous à protéger nos filles et nos sœurs », a-t-elle sollicité, saluant l’action des ONG, notamment, l’ONG « Femmes Actives » et l’ONG « Bingnet-Pah » (le bonheur est arrivé en langue guéré), qui les appuient efficacement dans cette lutte visant à éradiquer le phénomène de l’excision.
(AIP)
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