Les Aigles maliens et les Black Stars du Ghana ont remis ça. Comme il y a un an à Libreville, le Mali et le Ghana se sont retrouvés pour disputer la petite finale de consolation. Et comme en 2012, c’est le Mali qui a eu le dernier mot. Les Aigles maliens de Patrice Carteron ont dominé les Etoiles noires, d’Appiah Kweshi sur le score de trois buts à un. Ils se sont, par ce succès, emparés de la dernière marche du podium. Le Mali, troisième et le Ghana quatrième, c’est du déjà vu. Autant dire que ces deux équipes ont fait du sur place. Battus sur le fil par un Burkina Faso métamorphosé au fil de ce championnat, le Ghana n’avait certainement plus la tête à la CAN. En tout cas, pour les joueurs. Mais son entraîneur voulait sauver ce qui pouvait l’être en accrochant le podium. Appiah James Kwesi le voulait certainement pour atténuer toutes les critiques dont il a été l’objet après la publication de sa liste des 23.
Surtout qu’il s’était permis de laisser à quai les deux enfants d’Abedi Pelé (Andre et Jordi) et plusieurs autres expérimentés cadres de cette équipe. A l’arrivée, le vainqueur de la CAN 1982 avec le Ghana n’aura pas réussi son pari. Il repart de la CAN comme il était arrivé. Avec la même quatrième place. Le Mali, bien que vainqueur de cette petite finale disputée à Cape Town, n’a pas non plus progressé. Seydou Kéita et les Aigles maliens, qui nourrissaient de grandes ambitions après avoir sorti le pays hôte sont restés en bronze. Patrice Carteron n’aura pas fait mieux qu’Alain Giresse
Surtout qu’il s’était permis de laisser à quai les deux enfants d’Abedi Pelé (Andre et Jordi) et plusieurs autres expérimentés cadres de cette équipe. A l’arrivée, le vainqueur de la CAN 1982 avec le Ghana n’aura pas réussi son pari. Il repart de la CAN comme il était arrivé. Avec la même quatrième place. Le Mali, bien que vainqueur de cette petite finale disputée à Cape Town, n’a pas non plus progressé. Seydou Kéita et les Aigles maliens, qui nourrissaient de grandes ambitions après avoir sorti le pays hôte sont restés en bronze. Patrice Carteron n’aura pas fait mieux qu’Alain Giresse