Ce n'est pas nouveau ni spécifiquement ivoirien, mais à Abidjan ou à Yamoussoukro, ils sont de plus en plus nombreux à s'afficher avec de jeunes maîtresses. Et à leur ouvrir leur portefeuille.
Gilbert est serveur dans un hôtel du Plateau, à Abidjan. Tous les matins, sanglé dans son bel uniforme, il côtoie une clientèle aussi internationale qu'aisée. Lui n'est pas riche, mais s'en sort plutôt bien. Assez pour avoir, lui aussi, « une petite ». « Comme tous les hommes en Côte d'Ivoire ! » lance-t-il, presque gêné que l'on puisse imaginer qu'il n'en ait pas.
« Petite » est une expression nouchie (argot ivoirien) qui signifie « jeune amante » - la relation avec une petite se différenciant de celle avec un « deuxième bureau », qui implique souvent durée et... suite de l'article sur Jeune Afrique
Gilbert est serveur dans un hôtel du Plateau, à Abidjan. Tous les matins, sanglé dans son bel uniforme, il côtoie une clientèle aussi internationale qu'aisée. Lui n'est pas riche, mais s'en sort plutôt bien. Assez pour avoir, lui aussi, « une petite ». « Comme tous les hommes en Côte d'Ivoire ! » lance-t-il, presque gêné que l'on puisse imaginer qu'il n'en ait pas.
« Petite » est une expression nouchie (argot ivoirien) qui signifie « jeune amante » - la relation avec une petite se différenciant de celle avec un « deuxième bureau », qui implique souvent durée et... suite de l'article sur Jeune Afrique