Abidjan - L’Union nationale des entrepreneurs libres de Côte d’Ivoire(UnelCI) réclame huit milliards de FCFA suite à des travaux de réhabilitation des édifices et services publics dans les ex-zones centre, nord et ouest (CNO).
Lors d’un point de presse animé mardi à Abidjan, le président de l’Union, Ernest Agbaméné, a indiqué que l’Etat ivoirien reste devoir aux entrepreneurs la somme de huit milliards de FCFA représentant les factures des travaux de réhabilitation de plusieurs bâtiments et édifices administratifs détruits partiellement ou totalement dans les zones occupées par l’ex-rébellion pendant la crise politico-militaire de septembre 2002.
"Nous tenons à interpeller l’Etat de l’apurement de nos factures après avoir réhabilité les édifices dans les zones CNO", a déclaré Ernest Agbaméné, estimant que l’échéancier proposé par l’Etat ne comble pas l’attente des entrepreneurs.
Selon le conférencier, l’Etat a proposé aux entrepreneurs l’apurement par tranche mensuelle de 400 millions de FCFA jusqu’à épuisement total de la créance.
"Nous saluons cet effort des autorités, mais nous souhaiterions qu’elles revoient à la hausse, si possible 1,5 milliard de FCFA par mois", a déclaré le président de l’UnelCI qui menace d’user "tous les moyens légaux pour être entendus" en cas de blocages.
L’Union qui se réclame 162 membres, a vu le jour en 2005. Elle était le fournisseur de prestations du Comité national de pilotage et du redéploiement de l’administration (CNPRA).
Lors d’un point de presse animé mardi à Abidjan, le président de l’Union, Ernest Agbaméné, a indiqué que l’Etat ivoirien reste devoir aux entrepreneurs la somme de huit milliards de FCFA représentant les factures des travaux de réhabilitation de plusieurs bâtiments et édifices administratifs détruits partiellement ou totalement dans les zones occupées par l’ex-rébellion pendant la crise politico-militaire de septembre 2002.
"Nous tenons à interpeller l’Etat de l’apurement de nos factures après avoir réhabilité les édifices dans les zones CNO", a déclaré Ernest Agbaméné, estimant que l’échéancier proposé par l’Etat ne comble pas l’attente des entrepreneurs.
Selon le conférencier, l’Etat a proposé aux entrepreneurs l’apurement par tranche mensuelle de 400 millions de FCFA jusqu’à épuisement total de la créance.
"Nous saluons cet effort des autorités, mais nous souhaiterions qu’elles revoient à la hausse, si possible 1,5 milliard de FCFA par mois", a déclaré le président de l’UnelCI qui menace d’user "tous les moyens légaux pour être entendus" en cas de blocages.
L’Union qui se réclame 162 membres, a vu le jour en 2005. Elle était le fournisseur de prestations du Comité national de pilotage et du redéploiement de l’administration (CNPRA).