Les différentes crises qui ont lieu à la mutuelle générale des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire (Mugef-ci) sont en passe de devenir un souvenir lointain. L’Etat a pris le taureau par les cornes. De nouvelles mesures sont prises pour mettre fin à plusieurs années d’imbroglio. Mais des voix s’élèvent déjà pour dénoncer le mode opératoire.
Crise à répétition. Véritable feuilleton à la Mugef-ci avec comme trame essentielle : « Otes-toi pour que je m’y mette ». Le point culminant, un bicéphalisme à la tête de cette structure qui a eu pour conséquence la mise sur pied d’un comité de gestion avec pour objectif le retour de l’ordre dans la mutuelle des fonctionnaires. Un atelier national s’est même tenu à Yamoussoukro les 14, 15 et 16 décembre 2012, sur le mode de représentation des fonctionnaires mutualistes au sein des organes dirigeants de la Mutuelle Générale des Fonctionnaires de Côte d’Ivoire (MUGEF-CI). Le gouvernement a décidé de prendre les choses en mains pour que cessent définitivement les dissensions entre syndicats rivaux pour le contrôle de la MUGEF-CI. Les conclusions recommandent ceci :« Retenir la région comme unité territoriale de référence pour la désignation des délégués (en lieu et place de la sous-préfecture) ; retenir le scrutin de liste pour la désignation des membres des différents organes (en lieu et place du mode de scrutin plurinominal majoritaire à un tour); prendre en compte le poids démographique de chaque famille d’emploi, des corps particuliers, de la catégorie des retraités et des autres membres participants dans la composition du Conseil d’administration ». A peine annoncée que des voix s’élèvent déjà pour dénoncer ce mode opératoire. La plate forme des organisations syndicales pour la sauvegarde de la Mugef-ci est sans équivoque. Pour son porte parole que nous avons joint au téléphone, ces mesures visent tout simplement à arracher la Mugefci aux mutualistes. Pour lui, le gouvernement a été mal informé. Pis, dit-il, ces mesures vont politiser la mutuelle et la laisser aux mains des budgétivores. C’est pourquoi, toujours, selon Zadi Gnagna, plate forme rejette le système de représentation que l’Etat vient d’entériner. Le mouvement compte donner au cours des jours à venir, la position officielle de son mouvement.
F.TAKY
Crise à répétition. Véritable feuilleton à la Mugef-ci avec comme trame essentielle : « Otes-toi pour que je m’y mette ». Le point culminant, un bicéphalisme à la tête de cette structure qui a eu pour conséquence la mise sur pied d’un comité de gestion avec pour objectif le retour de l’ordre dans la mutuelle des fonctionnaires. Un atelier national s’est même tenu à Yamoussoukro les 14, 15 et 16 décembre 2012, sur le mode de représentation des fonctionnaires mutualistes au sein des organes dirigeants de la Mutuelle Générale des Fonctionnaires de Côte d’Ivoire (MUGEF-CI). Le gouvernement a décidé de prendre les choses en mains pour que cessent définitivement les dissensions entre syndicats rivaux pour le contrôle de la MUGEF-CI. Les conclusions recommandent ceci :« Retenir la région comme unité territoriale de référence pour la désignation des délégués (en lieu et place de la sous-préfecture) ; retenir le scrutin de liste pour la désignation des membres des différents organes (en lieu et place du mode de scrutin plurinominal majoritaire à un tour); prendre en compte le poids démographique de chaque famille d’emploi, des corps particuliers, de la catégorie des retraités et des autres membres participants dans la composition du Conseil d’administration ». A peine annoncée que des voix s’élèvent déjà pour dénoncer ce mode opératoire. La plate forme des organisations syndicales pour la sauvegarde de la Mugef-ci est sans équivoque. Pour son porte parole que nous avons joint au téléphone, ces mesures visent tout simplement à arracher la Mugefci aux mutualistes. Pour lui, le gouvernement a été mal informé. Pis, dit-il, ces mesures vont politiser la mutuelle et la laisser aux mains des budgétivores. C’est pourquoi, toujours, selon Zadi Gnagna, plate forme rejette le système de représentation que l’Etat vient d’entériner. Le mouvement compte donner au cours des jours à venir, la position officielle de son mouvement.
F.TAKY