Fidèle Manix Mantho est un jeune ivoirien originaire de Dabou qui vit en Angleterre. Il a décidé de se présenter en indépendant aux prochaines municipales dans cette ville. Dans un entretien qu’il a eu avec l’IA, l’homme qui a déjà déposé son dossier de candidature à la Cei, a donné de plus amples détails sur son projet de développement de Dabou.
Fidèle Manix Manto estime que la région de Dabou a perdu tous les repères avec la modernité et le développement. Il impute ce tableau sombre aux différentes administrations qui se sont succédées à la tête de la gestion de cette ville. «Il existe malheureusement trop de divisions politiques entre nos aînés et les cadres de la région sensés apporter des solutions au quotidien, à nos populations. Vous conviendrez avec moi que sans ce minimum d’entente, tout élan de développement est d’emblée difficile. Les conséquences se répercutent sur la population qui se voit imposer des clivages politiques. Tout le monde est donc embarqué dans des aventures politiques avec des solutions politiciennes qui laissent peu de place à la mise en place d'une véritable politique inclusive de développement. Les partis politiques ont fait suffisamment de mal aux populations», a laissé entendre ce cadre. Poursuivant, il a fait remarquer qu’il dispose de nombreux atouts pour propulser le développement de Dabou. «Je crois humblement avoir le profil et les aptitudes nécessaires ainsi que l’expertise requise pour relever ce défi à la mairie de Dabou. Des actes de charité à l’endroit de certaines ONG ont modestement été faits sans tambours et nous avons accompagné de par ma structure de consultance en développement, des jeunes de la région dans leur quête d'autonomie avec des microprojets. Dès notre élection, nous allons d’abord créer une plate-forme et un réseau de communication pour réconcilier la population avec elle-même et avec ses élus. Ensuite, assainir la ville et créer un centre de ressources et d'autonomisation de la population qui supportera un centre polyvalent de métiers et surtout moderniser le système de gestion de la mairie. C’est un peu pour la jeunesse et les populations de Dabou que je m’engage à être leur maire. La mairie sera la base de tout un programme d’autonomisation pour la jeunesse et les femmes. Je leur confierai des responsabilités de développement tout en leur fournissant l’encadrement nécessaire. Qu’’ils refusent d’écouter le chant des sirènes politiques et des charlatans qui ont montré leurs limites et qui n’ont rien de nouveau et de concret à proposer que des tee-shirts. Nous ferons mieux pour les pousser à cultiver l’excellence et qu’ils nous rejoignent pour aller à l’essentiel, c'est-à-dire mettre Dabou débout», a-t-il souhaité. Tout en soulignant que le fait qu’il réside en Angleterre ne devait pas constituer un problème, mais plutôt être perçu comme un avantage. «D’abord, nous sommes nés et avons grandi à Dabou. Depuis l’Europe, nous sommes des observateurs attentifs des actions et autres inactions de nos élus. Nos parents vivent à Dabou, nos partenaires sont sur le terrain et nous y sommes au moins deux fois par an, puisque nous y avons de la famille et des intérêts d’affaires. Ensuite, nous connaissons les problèmes que vivent nos familles et nos parents dont nous partageons les réalités et les souffrances depuis la diaspora. En plus, nous avons pu acquérir de l'expérience et de l’expertise des sociétés modernes dans lesquelles certains collaborateurs vivent ou étudient. Sur place ici à Dabou, la majorité des élus n'ont rien proposé de nouveau et de concret depuis plus de 20 ans. Nous avons une vision et c’est cette vision qui est la base de notre projet de développement», a décrié Fidèle Manix, avant d’inviter ses parents à le soutenir, avec détermination pour les élections à venir.
Touré Abdoulaye
Fidèle Manix Manto estime que la région de Dabou a perdu tous les repères avec la modernité et le développement. Il impute ce tableau sombre aux différentes administrations qui se sont succédées à la tête de la gestion de cette ville. «Il existe malheureusement trop de divisions politiques entre nos aînés et les cadres de la région sensés apporter des solutions au quotidien, à nos populations. Vous conviendrez avec moi que sans ce minimum d’entente, tout élan de développement est d’emblée difficile. Les conséquences se répercutent sur la population qui se voit imposer des clivages politiques. Tout le monde est donc embarqué dans des aventures politiques avec des solutions politiciennes qui laissent peu de place à la mise en place d'une véritable politique inclusive de développement. Les partis politiques ont fait suffisamment de mal aux populations», a laissé entendre ce cadre. Poursuivant, il a fait remarquer qu’il dispose de nombreux atouts pour propulser le développement de Dabou. «Je crois humblement avoir le profil et les aptitudes nécessaires ainsi que l’expertise requise pour relever ce défi à la mairie de Dabou. Des actes de charité à l’endroit de certaines ONG ont modestement été faits sans tambours et nous avons accompagné de par ma structure de consultance en développement, des jeunes de la région dans leur quête d'autonomie avec des microprojets. Dès notre élection, nous allons d’abord créer une plate-forme et un réseau de communication pour réconcilier la population avec elle-même et avec ses élus. Ensuite, assainir la ville et créer un centre de ressources et d'autonomisation de la population qui supportera un centre polyvalent de métiers et surtout moderniser le système de gestion de la mairie. C’est un peu pour la jeunesse et les populations de Dabou que je m’engage à être leur maire. La mairie sera la base de tout un programme d’autonomisation pour la jeunesse et les femmes. Je leur confierai des responsabilités de développement tout en leur fournissant l’encadrement nécessaire. Qu’’ils refusent d’écouter le chant des sirènes politiques et des charlatans qui ont montré leurs limites et qui n’ont rien de nouveau et de concret à proposer que des tee-shirts. Nous ferons mieux pour les pousser à cultiver l’excellence et qu’ils nous rejoignent pour aller à l’essentiel, c'est-à-dire mettre Dabou débout», a-t-il souhaité. Tout en soulignant que le fait qu’il réside en Angleterre ne devait pas constituer un problème, mais plutôt être perçu comme un avantage. «D’abord, nous sommes nés et avons grandi à Dabou. Depuis l’Europe, nous sommes des observateurs attentifs des actions et autres inactions de nos élus. Nos parents vivent à Dabou, nos partenaires sont sur le terrain et nous y sommes au moins deux fois par an, puisque nous y avons de la famille et des intérêts d’affaires. Ensuite, nous connaissons les problèmes que vivent nos familles et nos parents dont nous partageons les réalités et les souffrances depuis la diaspora. En plus, nous avons pu acquérir de l'expérience et de l’expertise des sociétés modernes dans lesquelles certains collaborateurs vivent ou étudient. Sur place ici à Dabou, la majorité des élus n'ont rien proposé de nouveau et de concret depuis plus de 20 ans. Nous avons une vision et c’est cette vision qui est la base de notre projet de développement», a décrié Fidèle Manix, avant d’inviter ses parents à le soutenir, avec détermination pour les élections à venir.
Touré Abdoulaye