Le meeting qu’a décidé d’organiser la jeunesse du Front populaire ivoirien (Jfpi), le samedi 16 février 2013, fait actuellement le buzz dans tout le pays. Les militants, les sympathisants du Front populaire ivoirien (Fpi), les patriotes, les démocrates et les Ivoiriens piaffent d’impatience. Ils sont pressés de déferler en masse ce 16 février pour exiger de la Cour pénale internationale (Cpi), la libération sans condition du Président Laurent Gbagbo. C’est l’effervescence dans toutes les fédérations et sections du Fpi. Femmes, hommes et jeunes épris de liberté et de justice se préparent activement pour réussir le pari de la mobilisation. La Jfpi a déjà reçu le soutien des parlements et agoras, du Cojep et des jeunesses de l’Ung et de l’Udcy. La famille naturelle de cette jeunesse, à savoir le Fpi n’est pas en reste. Toute la direction intérimaire du Fpi est soudée et mobilisée derrière le Secrétaire national par intérim et ses camarades. Ce soutien s’est manifesté par cet appel lancé par Marie-Odette Lorougnon, Secrétaire nationale des femmes et Vice-présidente du Fpi. Pour elle, ce premier meeting dédié à la libération du Président Gbagbo est le tout premier organisé par la Jfpi. D’où son caractère symbolique, particulier et crucial. Depuis que le Président Gbagbo a été déporté à La Haye, ce n’est que la diaspora qui a organisé et continue d’organiser des rassemblements pour exiger sa libération, constate l’honorable. Elle félicite et encourage donc Koua Justin et ses camarades qui ont eu cette ingénieuse idée d’organiser un gigantesque meeting à la place Cp1 de Yopougon pour réclamer à la Cpi, la libération de l’homme politique le plus populaire de Côte d’Ivoire. Marie-Odette Lorougnon invite alors toutes les femmes du Fpi, les femmes ivoiriennes, les démocrates de Côte d’Ivoire, les jeunes, les travailleurs, et l’ensemble des militants de la gauche démocratique à sortir massivement le samedi 16 février 2013 pour se rendre au lieu du meeting dès le matin. Ce meeting, explique la Secrétaire nationale de l’Offpi, est également un test pour le régime du Président Ouattara : Prouver son ouverture, dans un soucis d’apaisement du climat socio politique. D’ailleurs, la Vice-présidente du Fpi estime que le droit de manifester, de se rassembler, est inscrit dans la Constitution ivoirienne. Laquelle par ailleurs, confirme le droit à la différence.
Et c’est ce droit à la différence, qui doit s’exprimer le 16 février 2013. Pour la responsable des femmes du Fpi, il ne faut pas que le pouvoir se braque continuellement contre l’opposition. Que représente un pouvoir sans une opposition libre et forte, s’interroge l’honorable. Ce meeting qui se tient à 3 jours de l’ouverture de l’audience de confirmation ou d’infirmation des charges dans l’affaire «le Procureur contre le Président Gbagbo» à la Cpi, réjouit vraiment le cœur de Marie-Odette Lorougnon. Car, il va encore démontrer aux juges de la Cpi, que le Président fondateur du Fpi, est un homme épris de paix, de justice, de démocratie, qui est incapable de tuer une mouche. C’est pourquoi, la Cpi est obligée de le libérer sans condition, assène la Vice-présidente du Fpi.
En conclusion, ce meeting, selon l’honorable Marie-Odette Lorougnon, est aussi le lieu d’un nouvel engagement : engagement pour les libertés aujourd’hui confisquées, engagement pour la démocratie, l’Etat de droit, en un mot, engagement pour un retour à la normalisation de la vie socio politique dans notre pays.
Fabrice Tété
Et c’est ce droit à la différence, qui doit s’exprimer le 16 février 2013. Pour la responsable des femmes du Fpi, il ne faut pas que le pouvoir se braque continuellement contre l’opposition. Que représente un pouvoir sans une opposition libre et forte, s’interroge l’honorable. Ce meeting qui se tient à 3 jours de l’ouverture de l’audience de confirmation ou d’infirmation des charges dans l’affaire «le Procureur contre le Président Gbagbo» à la Cpi, réjouit vraiment le cœur de Marie-Odette Lorougnon. Car, il va encore démontrer aux juges de la Cpi, que le Président fondateur du Fpi, est un homme épris de paix, de justice, de démocratie, qui est incapable de tuer une mouche. C’est pourquoi, la Cpi est obligée de le libérer sans condition, assène la Vice-présidente du Fpi.
En conclusion, ce meeting, selon l’honorable Marie-Odette Lorougnon, est aussi le lieu d’un nouvel engagement : engagement pour les libertés aujourd’hui confisquées, engagement pour la démocratie, l’Etat de droit, en un mot, engagement pour un retour à la normalisation de la vie socio politique dans notre pays.
Fabrice Tété