Le Front populaire ivoirien ( FPI), le parti de l’ancien Chef de l’Etat , Laurent Gbagbo a décidé samedi de ‘’boycotter’’ les prochaines élections municipales et régionales couplées pour n’avoir pas été associé au choix de la date du 21 avril pour l’organisation de ce scrutin.
Selon le secrétaire général intérimaire du FPI, Dr Richard Kodjo, son parti ne prendra pas part aux élections municipales et régionales du 21 avril prochain, car soutient-il, cette date a été fixée de façon ‘'unilatérale'' par le gouvernement.
‘'Nous ne comprenons pas cette mesure du gouvernement (…) Alors que les discussions sont en cours, le gouvernement prend la décision de donner une date de manière unilatérale'', a-t-il souligné.
Initialement prévues le 24 février, les élections locales avaient été reportées par le pouvoir pour permettre la tenue de négociations avec le FPI, en vue de sa participation à ces scrutins, ainsi que celle des petites formations politiques de l'opposition.
Le FPI, conditionne sa participation d'abord à un nouveau report, ensuite à la satisfaction de quelques préalables, notamment l'adoption d'une loi d'amnistie et la mise sur pied d'une nouvelle Commission électorale indépendante (CEI).
Le parti fondé par M. Gbagbo, avait déjà boycotté les élections législatives de décembre 2011, largement remportées par le Rassemblement des républicains (RDR), le parti au pouvoir.
LS/of/APA
Selon le secrétaire général intérimaire du FPI, Dr Richard Kodjo, son parti ne prendra pas part aux élections municipales et régionales du 21 avril prochain, car soutient-il, cette date a été fixée de façon ‘'unilatérale'' par le gouvernement.
‘'Nous ne comprenons pas cette mesure du gouvernement (…) Alors que les discussions sont en cours, le gouvernement prend la décision de donner une date de manière unilatérale'', a-t-il souligné.
Initialement prévues le 24 février, les élections locales avaient été reportées par le pouvoir pour permettre la tenue de négociations avec le FPI, en vue de sa participation à ces scrutins, ainsi que celle des petites formations politiques de l'opposition.
Le FPI, conditionne sa participation d'abord à un nouveau report, ensuite à la satisfaction de quelques préalables, notamment l'adoption d'une loi d'amnistie et la mise sur pied d'une nouvelle Commission électorale indépendante (CEI).
Le parti fondé par M. Gbagbo, avait déjà boycotté les élections législatives de décembre 2011, largement remportées par le Rassemblement des républicains (RDR), le parti au pouvoir.
LS/of/APA