L’Alliance pour le changement (APC) avec à sa tête l’honorable Alphonse Soro, a effectué sa rentrée politique, le week-end dernier au cinéma le Capitole de Bouaké. Au cours de cette rentrée politique, l’honorable Alphonse Soro a ébauché plusieurs thèmes, notamment, la réconciliation nationale, le dialogue politique, l’extradition des exilés, la question des réfugiés, le front social, la cherté de la vie et les résultats des législatives partielles. Selon lui, la Cour pénale internationale doit pouvoir confirmer les charges contre l’ex président Laurent Gbagbo d’ici au 19 février prochain, au risque de faire preuve de ridicule. Car il ne serait pas normal de toujours reporter l’audience qui doit confirmer ces charges-là. Relativement à la réconciliation nationale, Alphonse Soro a fait savoir qu’après diagnostic, le constat fait par sa structure est ‘‘amer et que le processus stagne et malgré les actions tous azimuts en faveur de la paix, les antagonismes demeurent.
L’APC observe que la CDVR n’a pas réussi à créer les conditions des retrouvailles entre les Ivoiriens et que l’accélération du processus se trouve subordonnée à la satisfaction de deux préalables: accélérer et achever les procédures judiciaires et s’occuper du dédommagement moral et matériel des victimes’’. Ainsi cela devra contribuer à créer un cadre sincère du dialogue politique par des compromis. Sur la question des exilés, l’APC a salué l’extradition réclamée par la justice. Toutefois elle a souhaité que soit mis fin aux arrestations systématiques des exilés volontairement rentrés et que le gouvernement mette en place des conditions idoines de retour des réfugiés par des mesures incitatives. Le président de l’APC a souhaité que soit renforcé le contrôle sur les prix des denrées alimentaires et que des sanctions interviennent contre les éventuels contrevenants à ces mesures et intensifier la lutte contre le racket.
Alphonse Soro a par ailleurs fait savoir que les législatives partielles doivent s’interpréter comme un ‘‘signe d’un divorce entre la classe dirigeante et les bases politiques’’ vu la victoire de nombreux indépendants et a profité de l'occasion pour dénoncer le cumul de postes. Car il faut donner la possibilité à d'autres d'exprimer leurs talents au service de la nation. Pour finir, il a invité tout un chacun à ne voir que l’intérêt de la Côte d’Ivoire et non celui d’une personne.
CS
L’APC observe que la CDVR n’a pas réussi à créer les conditions des retrouvailles entre les Ivoiriens et que l’accélération du processus se trouve subordonnée à la satisfaction de deux préalables: accélérer et achever les procédures judiciaires et s’occuper du dédommagement moral et matériel des victimes’’. Ainsi cela devra contribuer à créer un cadre sincère du dialogue politique par des compromis. Sur la question des exilés, l’APC a salué l’extradition réclamée par la justice. Toutefois elle a souhaité que soit mis fin aux arrestations systématiques des exilés volontairement rentrés et que le gouvernement mette en place des conditions idoines de retour des réfugiés par des mesures incitatives. Le président de l’APC a souhaité que soit renforcé le contrôle sur les prix des denrées alimentaires et que des sanctions interviennent contre les éventuels contrevenants à ces mesures et intensifier la lutte contre le racket.
Alphonse Soro a par ailleurs fait savoir que les législatives partielles doivent s’interpréter comme un ‘‘signe d’un divorce entre la classe dirigeante et les bases politiques’’ vu la victoire de nombreux indépendants et a profité de l'occasion pour dénoncer le cumul de postes. Car il faut donner la possibilité à d'autres d'exprimer leurs talents au service de la nation. Pour finir, il a invité tout un chacun à ne voir que l’intérêt de la Côte d’Ivoire et non celui d’une personne.
CS