Abidjan - Pour commenter l’audience de confirmation des charges à la CPI contre Laurent Gbagbo, les médias tendent leurs micros à deux parties: les partisans de Gbagbo et les leaders de partis politique. Comme s’il s’agissait d’un procès politique. Oubliant de facto les victimes et leurs familles, ceux-là même qui ont payé la folie meurtrière des "jeunes patriotes" des miliciens et autres mercenaires lors de la crise post-électorale. Autant de choses que l’Alliance pour le changement (APC) de l’honorable Alphonse Soro a relevé en organisant, ce mardi 19 février 2013 une conférence de presse à son siège de Cocody-les-2 Plateaux.
Pour l’honorable Alphonse Soro, président de l’organisation qui regroupe désormais des jeunes du RDR, du PDCI, du FPI et de la diaspora, "Il faut que la justice aille jusqu’à son terme afin que la vérité soit dite sur ce qui est arrivé à la Côte d’Ivoire. Pour que l’impunité cesse d’être notre quotidien et pour éviter que les victimes ne se fassent justice. Ceci boosterait dans l’ensemble le processus de réconciliation nationale". Et d’annoncer pour le 28 février, dernier jour de l’audience un grand rassemblement appelé ’’la marche blanche’’, de la Gare d’Abobo jusqu’au marché où les militaires de Laurent Gbagbo avaient lancé des obus sur les populations civiles. Tous les intervenants à cette conférence ont abondé dans le sens d’une justice qui puisse conforter les victimes et les rassurer sur son impartialité.
FN
Pour l’honorable Alphonse Soro, président de l’organisation qui regroupe désormais des jeunes du RDR, du PDCI, du FPI et de la diaspora, "Il faut que la justice aille jusqu’à son terme afin que la vérité soit dite sur ce qui est arrivé à la Côte d’Ivoire. Pour que l’impunité cesse d’être notre quotidien et pour éviter que les victimes ne se fassent justice. Ceci boosterait dans l’ensemble le processus de réconciliation nationale". Et d’annoncer pour le 28 février, dernier jour de l’audience un grand rassemblement appelé ’’la marche blanche’’, de la Gare d’Abobo jusqu’au marché où les militaires de Laurent Gbagbo avaient lancé des obus sur les populations civiles. Tous les intervenants à cette conférence ont abondé dans le sens d’une justice qui puisse conforter les victimes et les rassurer sur son impartialité.
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