Des parents d’élèves accusent les institutrices recrutées dans la vague des enseignants volontaires d’être à l’origine de la baisse du niveau scolaire que connaît le département de Dabakala (région du Hambol) depuis un certain temps.
"Des enseignants qui lisent difficilement l’alphabet, il en existe dans nos écoles. Il y a deux ans lors de l’inauguration de l’EPP Kengueledougou, le sous-préfet de Dabakala avait déjà interpelé les uns et les autres sur la nécessité de prendre l’école au sérieux, on se souvient à cette cérémonie, un instituteur avait mal chanté l’hymne nationale", a expliqué à l’AIP, un président de COGES qui a requis l’anonymat.
"Il faut les remettre à la disposition des centres de formation pédagogique pour qu’ils puissent apprendre avant de les lancer sur le terrain", a-t-il suggéré pour terminer.
(AIP)
"Des enseignants qui lisent difficilement l’alphabet, il en existe dans nos écoles. Il y a deux ans lors de l’inauguration de l’EPP Kengueledougou, le sous-préfet de Dabakala avait déjà interpelé les uns et les autres sur la nécessité de prendre l’école au sérieux, on se souvient à cette cérémonie, un instituteur avait mal chanté l’hymne nationale", a expliqué à l’AIP, un président de COGES qui a requis l’anonymat.
"Il faut les remettre à la disposition des centres de formation pédagogique pour qu’ils puissent apprendre avant de les lancer sur le terrain", a-t-il suggéré pour terminer.
(AIP)