Cette fois, c'est la bonne. Selon nos informations, Loïk Le Floch-Prigent devait prendre un vol à Lomé, hier mardi 26 février dans la soirée, en direction de la France.
Selon les informations de Jeune Afrique, le Togo a donné son accord à l'extradition de Loïk Le Floch-Prigent vers la France. L'ex-patron du groupe Elf devait prendre un vol à Lomé, hier mardi soir, en direction de Paris. Il était temps. Le 19 février, dans son cachot de Lomé, Loïk Le Floch-Prigent a été victime d'un petit malaise cardiaque. Le mal a été diagnostiqué par le médecin du poste consulaire français. En visite à Paris le 29 janvier, Kwesi Séléagodji Ahoomey-Zunu, le Premier ministre togolais, avait déclaré que le Président Faure Gnassingbé ne serait pas opposé, si la justice le décidait, à un rapatriement médical de Le Floch, incarcéré depuis septembre 2012 pour complicité d'escroquerie. L'ex-détenu souffre aussi d'un cancer de la peau qui ronge sa jambe gauche. Le 13 février, un communiqué du Parti socialiste français estimant la démocratie «bafouée» au Togo avait provoqué la colère des autorités et compromis les efforts du consultant Michel Scarbonchi, ex-député européen radical de gauche, lequel, présent à Lomé, avait bon espoir de ramener Le Floch à Paris.
Source : Jeuneafrique.com
Selon les informations de Jeune Afrique, le Togo a donné son accord à l'extradition de Loïk Le Floch-Prigent vers la France. L'ex-patron du groupe Elf devait prendre un vol à Lomé, hier mardi soir, en direction de Paris. Il était temps. Le 19 février, dans son cachot de Lomé, Loïk Le Floch-Prigent a été victime d'un petit malaise cardiaque. Le mal a été diagnostiqué par le médecin du poste consulaire français. En visite à Paris le 29 janvier, Kwesi Séléagodji Ahoomey-Zunu, le Premier ministre togolais, avait déclaré que le Président Faure Gnassingbé ne serait pas opposé, si la justice le décidait, à un rapatriement médical de Le Floch, incarcéré depuis septembre 2012 pour complicité d'escroquerie. L'ex-détenu souffre aussi d'un cancer de la peau qui ronge sa jambe gauche. Le 13 février, un communiqué du Parti socialiste français estimant la démocratie «bafouée» au Togo avait provoqué la colère des autorités et compromis les efforts du consultant Michel Scarbonchi, ex-député européen radical de gauche, lequel, présent à Lomé, avait bon espoir de ramener Le Floch à Paris.
Source : Jeuneafrique.com