Abidjan - Un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de d’Afrique de l’ouest (CEDEAO) centré essentiellement sur la crise malienne, s’ouvre mercredi à Yamoussoukro, avec la préoccupation de l’organisation de mobiliser au moins 450 milliards de FCFA, soit deux fois plus que ce qu’ont promis les donateurs pour soutenir la guerre contre les jihadistes dans le nord du pays.
Lors de la session extraordinaire du Conseil de médiation et de paix de l’organisation tenue lundi à Abidjan, le ministre ivoirien des Affaires étrangères a estimé à 950 millions de dollars US (environ 475 milliards de FCFA), nécessaires soutenir les forces africaines et maliennes engagées sur les fronts dans le combats contre les groupes armés islamistes qui occupaient le nord du Mali.
La communauté internationale avait promis en janvier, lors d’une conférence à Addis-Abeba, une enveloppe financière de plus de 455 millions de dollars (227 milliard s de FCFA)) pour la résolution de la crise politico-militaire au Mali.
Les chefs d’Etat devront réfléchir sur les modalités et les mécanismes devant permettre de renforcer l’effectif des soldats africains de la MISMA, dont le nombre à terme pourrait être relevé de 6000 à 8000 hommes.
Ce Sommet de la CEDEAO permettra également aux dirigeants des 15 Etats membres de faire le bilan du processus de la transition en Guinée Bissau où des forces ouest-africaines sont également engagées pour veiller au maintien de paix.
Tm/kp
Lors de la session extraordinaire du Conseil de médiation et de paix de l’organisation tenue lundi à Abidjan, le ministre ivoirien des Affaires étrangères a estimé à 950 millions de dollars US (environ 475 milliards de FCFA), nécessaires soutenir les forces africaines et maliennes engagées sur les fronts dans le combats contre les groupes armés islamistes qui occupaient le nord du Mali.
La communauté internationale avait promis en janvier, lors d’une conférence à Addis-Abeba, une enveloppe financière de plus de 455 millions de dollars (227 milliard s de FCFA)) pour la résolution de la crise politico-militaire au Mali.
Les chefs d’Etat devront réfléchir sur les modalités et les mécanismes devant permettre de renforcer l’effectif des soldats africains de la MISMA, dont le nombre à terme pourrait être relevé de 6000 à 8000 hommes.
Ce Sommet de la CEDEAO permettra également aux dirigeants des 15 Etats membres de faire le bilan du processus de la transition en Guinée Bissau où des forces ouest-africaines sont également engagées pour veiller au maintien de paix.
Tm/kp