La communauté internationale est prête à accompagner le futur accord de paix entre le gouvernement malien et les groupes armés du nord, engagés depuis juillet dernier dans un processus de négociations à Alger, a déclaré mardi à Bamako Mme Annick Girardin, secrétaire d'État français au Développement et à la Francophonie.
"La communauté internationale est prête à accompagner ce futur accord de paix parce que l'enjeu est important que si cet accord voit définitivement le jour", a-t-elle affirmé à l'ouverture de la 5ème réunion de suivi de la conférence de Bruxelles sur le financement de l'aide au développement au Mali, qui a été présidée par le Premier ministre malien Modibo Keïta.
"Alors que les discussions viennent de reprendre à Alger, il est crucial qu'une confiance mutuelle s'instaure entre les différentes parties", a ajouté Mme Girardin qui a souhaité que " tous les actes de violences et de provocation cessent sur le terrain sans plus tarder, quels qu'en soient d'ailleurs les acteurs et les initiateurs".
Elle a déclaré par ailleurs que la France se réjouit des trois priorités choisies par le nouveau Premier ministre malien Modibo Keïta, à savoir la sécurité des personnes et des biens, le développement économique et social et la justice.
La France se réjouit également des moyens mis en avant pour atteindre ces objectifs, a-t-elle ajouté. Il s'agit de "plus de décentralisation, plus d'écoute de la population notamment en matière de développement local et de meilleures capacités de mise en OEuvre. Des questions essentielles sur lesquelles doit se pencher cette 5è conférence de suivi", a-t-elle précisé.
En mai 2013, des bailleurs de fonds et des partenaires se sont engagés à octroyer 3,3 milliards d'euros au Mali. A Bamako, lors de la conférence de suivi, il s'agira de faire le bilan de la mise en OEuvre des engagements pris à Bruxelles, a-t-elle dit.
Pour sa part, le Premier ministre malien a souligné que son pays "a besoin de soutien, il a besoin qu'il soit non pas seulement assisté mais qu'il soit accompagné et quand il est accompagné, il lui appartient de dire voilà la direction dans laquelle je m'en engage".
"La communauté internationale est prête à accompagner ce futur accord de paix parce que l'enjeu est important que si cet accord voit définitivement le jour", a-t-elle affirmé à l'ouverture de la 5ème réunion de suivi de la conférence de Bruxelles sur le financement de l'aide au développement au Mali, qui a été présidée par le Premier ministre malien Modibo Keïta.
"Alors que les discussions viennent de reprendre à Alger, il est crucial qu'une confiance mutuelle s'instaure entre les différentes parties", a ajouté Mme Girardin qui a souhaité que " tous les actes de violences et de provocation cessent sur le terrain sans plus tarder, quels qu'en soient d'ailleurs les acteurs et les initiateurs".
Elle a déclaré par ailleurs que la France se réjouit des trois priorités choisies par le nouveau Premier ministre malien Modibo Keïta, à savoir la sécurité des personnes et des biens, le développement économique et social et la justice.
La France se réjouit également des moyens mis en avant pour atteindre ces objectifs, a-t-elle ajouté. Il s'agit de "plus de décentralisation, plus d'écoute de la population notamment en matière de développement local et de meilleures capacités de mise en OEuvre. Des questions essentielles sur lesquelles doit se pencher cette 5è conférence de suivi", a-t-elle précisé.
En mai 2013, des bailleurs de fonds et des partenaires se sont engagés à octroyer 3,3 milliards d'euros au Mali. A Bamako, lors de la conférence de suivi, il s'agira de faire le bilan de la mise en OEuvre des engagements pris à Bruxelles, a-t-elle dit.
Pour sa part, le Premier ministre malien a souligné que son pays "a besoin de soutien, il a besoin qu'il soit non pas seulement assisté mais qu'il soit accompagné et quand il est accompagné, il lui appartient de dire voilà la direction dans laquelle je m'en engage".