Abidjan – L’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Georges Serre a procédé mardi à Abidjan, à la remise de la "mention spéciale du Prix des Droits de l’Homme de la République française 2012" à l’organisation ivoirienne Action pour la protection des droits de l’Homme (APDH).
Créé en 1988 et doté par le Premier ministre, le Prix des droits de l’Homme de la République française est organisé par la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNDH), institution française de promotion des droits de l’Homme. Il récompense les actions individuelles ou collectives de terrain, sans considération de nationalité ou de frontières.
En réceptionnant le Prix lors d’une cérémonie organisée à cet effet à la Résidence de France (Cocody, Abidjan), en présence de plusieurs activistes des droits humains ivoiriens, le président de l’APDH, Eric Sémien s’est réjoui de l’honneur que fait la France aux militants pour les droits de l’Homme et surtout pour les subventions qui leur sont accordées en vue de les accompagner sur le terrain, afin de recueillir les informations et assister des victimes.
Le président de l’APDH s’est réjoui que son organisation soit la seule ouest-africaine à recevoir cette distinction, cette année. Il a réaffirmé sa volonté d’être un acteur incontournable de la défense des droits humains après la crise postélectorale et d’être un organe de veille, d’éveil et de plaidoyer pour les respect de ces droits, de même qu’une force de proposition, d’analyse et de dénonciation qui veut s’engager dans le monitoring stratégique, auprès des décideurs.
L’APDH a été récompensée pour ses actions sur le terrain visant à assister et orienter les victimes de la crise postélectorale (novembre 2010 – avril 2011), notamment dans le village d’Anonkoua Kouté, situé dans la commune d’Abobo. Le chef dudit village, invité spécial de M. Sémien, s’est d’ailleurs exprimé pour remercier l’organisation et la France pour leur soutien, à travers leur assistance.
Quant à l’ambassadeur de France, il avait auparavant expliqué que le Prix qui s’inscrit dans la durée récompense une dizaine d’institutions et d’organisations, tous les ans. Ce prix, a-t-il ajouté, vise à donner une dimension concrète des droits humains et cette action se situe dans le cadre du développement, à travers le rôle de la société civile.
Le diplomate français a précisé que le Prix remis à l’APDH l’a été pour son travail en faveur de l’accompagnement juridique et judiciaire des victimes de la crise postélectorale.
cmas
Créé en 1988 et doté par le Premier ministre, le Prix des droits de l’Homme de la République française est organisé par la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNDH), institution française de promotion des droits de l’Homme. Il récompense les actions individuelles ou collectives de terrain, sans considération de nationalité ou de frontières.
En réceptionnant le Prix lors d’une cérémonie organisée à cet effet à la Résidence de France (Cocody, Abidjan), en présence de plusieurs activistes des droits humains ivoiriens, le président de l’APDH, Eric Sémien s’est réjoui de l’honneur que fait la France aux militants pour les droits de l’Homme et surtout pour les subventions qui leur sont accordées en vue de les accompagner sur le terrain, afin de recueillir les informations et assister des victimes.
Le président de l’APDH s’est réjoui que son organisation soit la seule ouest-africaine à recevoir cette distinction, cette année. Il a réaffirmé sa volonté d’être un acteur incontournable de la défense des droits humains après la crise postélectorale et d’être un organe de veille, d’éveil et de plaidoyer pour les respect de ces droits, de même qu’une force de proposition, d’analyse et de dénonciation qui veut s’engager dans le monitoring stratégique, auprès des décideurs.
L’APDH a été récompensée pour ses actions sur le terrain visant à assister et orienter les victimes de la crise postélectorale (novembre 2010 – avril 2011), notamment dans le village d’Anonkoua Kouté, situé dans la commune d’Abobo. Le chef dudit village, invité spécial de M. Sémien, s’est d’ailleurs exprimé pour remercier l’organisation et la France pour leur soutien, à travers leur assistance.
Quant à l’ambassadeur de France, il avait auparavant expliqué que le Prix qui s’inscrit dans la durée récompense une dizaine d’institutions et d’organisations, tous les ans. Ce prix, a-t-il ajouté, vise à donner une dimension concrète des droits humains et cette action se situe dans le cadre du développement, à travers le rôle de la société civile.
Le diplomate français a précisé que le Prix remis à l’APDH l’a été pour son travail en faveur de l’accompagnement juridique et judiciaire des victimes de la crise postélectorale.
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