Bouaké - La ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Kandia Kamissoko Camara a procédé mercredi au lancement officiel des travaux de réhabilitation du Lycée technique de Bouaké, pillé et vandalisé dès les premières heures de la crise, en 2002.
La ministre qui était accompagnée d’une forte délégation, s’est réjouie de revoir bientôt le Lycée qui a été délocalisé à Abidjan, revenir sur son site d'origine. Elle a souhaité que les travaux soient accélérés et s’achèvent au mois de Mai, comme promis, afin d’ouvrir ses portes dès la rentrée prochaine.
Le coût des travaux de réhabilitation est évalué à 2,6 milliards FCFA. Ils concernent l’ensemble des 36 bâtiments abritant les salles de classe, les ateliers, l’internat, ainsi que le bitumage de la voie d’accès au Lycée et l’électrification.
Le projet de réhabilitation du Lycée technique s’inscrit dans le cadre du projet d’appui au programme de reconstruction des infrastructures dans la zone centre nord ouest (Projet Rec CNO). Il est conjointement financé par l’Etat de Côte d’Ivoire, à hauteur de trois milliards FCFA, par un prêt de la Banque islamique de développement (BID) d’un montant de 15 milliards FCFA, ainsi que par un don de la BID d’environ 200 millions FCFA.
(AIP)
nam/cmas
La ministre qui était accompagnée d’une forte délégation, s’est réjouie de revoir bientôt le Lycée qui a été délocalisé à Abidjan, revenir sur son site d'origine. Elle a souhaité que les travaux soient accélérés et s’achèvent au mois de Mai, comme promis, afin d’ouvrir ses portes dès la rentrée prochaine.
Le coût des travaux de réhabilitation est évalué à 2,6 milliards FCFA. Ils concernent l’ensemble des 36 bâtiments abritant les salles de classe, les ateliers, l’internat, ainsi que le bitumage de la voie d’accès au Lycée et l’électrification.
Le projet de réhabilitation du Lycée technique s’inscrit dans le cadre du projet d’appui au programme de reconstruction des infrastructures dans la zone centre nord ouest (Projet Rec CNO). Il est conjointement financé par l’Etat de Côte d’Ivoire, à hauteur de trois milliards FCFA, par un prêt de la Banque islamique de développement (BID) d’un montant de 15 milliards FCFA, ainsi que par un don de la BID d’environ 200 millions FCFA.
(AIP)
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