Des dizaines de victimes des violences liées à la crise post électorale ivoirienne ont défilé jeudi dans les rues d’Abidjan pour attirer l’attention de la Cour pénale internationale (CPI), devant laquelle, Laurent Gbagbo a comparu le même jour à la Haye au Pays-Bas
Les manifestants ont défilé dans les rues de Koumassi, commune au sud d'Abidjan, brandissant des pancartes véhiculant des messages hostiles à l'ancien président ivoirien, Laurent Gbagbo.
‘'Gbagbo assassin ! Que la vérité triomphe ! Gbagbo m'a rendue veuve ! Justice !justice ! Justice ! '', pouvait-on lire sur ces pancartes.
Réunis au sein d'un collectif de victimes de la crise post électorale, ces manifestants se sont rassemblés sur une place publique de Koumassi où chacun a expliqué les brimades endurées pendant cette période postélectorale en Côte d'Ivoire.
L'audience de confirmation des charges contre Laurent Gbagbo, ouverte le 19 février dernier devant la CPI doit s'achever ce jeudi.
Elle vise à permettre aux juges d'examiner les éléments de preuves rassemblés par l'accusation pour voir s'ils sont suffisamment solides pour permettre la tenue d'un procès.
Il est reproché à M. Gbagbo qui est transféré à la CPI depuis le 29 novembre 2011, d'avoir été co-auteur indirect de quatre chefs de crimes contre l'humanité, notamment ‘'meurtres, viols, persécutions et autres actes inhumains''.
Son refus de reconnaitre la victoire de son challenger Alassane Ouattara à l'issue de la présidentielle du 28 novembre 2010 a conduit la Côte d'Ivoire dans une crise post électorale qui a fait de décembre 2010 à avril 2011, plus de 3000 morts.
Les manifestants ont défilé dans les rues de Koumassi, commune au sud d'Abidjan, brandissant des pancartes véhiculant des messages hostiles à l'ancien président ivoirien, Laurent Gbagbo.
‘'Gbagbo assassin ! Que la vérité triomphe ! Gbagbo m'a rendue veuve ! Justice !justice ! Justice ! '', pouvait-on lire sur ces pancartes.
Réunis au sein d'un collectif de victimes de la crise post électorale, ces manifestants se sont rassemblés sur une place publique de Koumassi où chacun a expliqué les brimades endurées pendant cette période postélectorale en Côte d'Ivoire.
L'audience de confirmation des charges contre Laurent Gbagbo, ouverte le 19 février dernier devant la CPI doit s'achever ce jeudi.
Elle vise à permettre aux juges d'examiner les éléments de preuves rassemblés par l'accusation pour voir s'ils sont suffisamment solides pour permettre la tenue d'un procès.
Il est reproché à M. Gbagbo qui est transféré à la CPI depuis le 29 novembre 2011, d'avoir été co-auteur indirect de quatre chefs de crimes contre l'humanité, notamment ‘'meurtres, viols, persécutions et autres actes inhumains''.
Son refus de reconnaitre la victoire de son challenger Alassane Ouattara à l'issue de la présidentielle du 28 novembre 2010 a conduit la Côte d'Ivoire dans une crise post électorale qui a fait de décembre 2010 à avril 2011, plus de 3000 morts.