Hier jeudi 28 février 2013 s’est achevée l’audience de confirmation des charges de l’ancien président ivoirien pensionnaire des locaux de la Cpi depuis qu’il y a été transféré une certaine nuit de novembre 2011.
Ouverte une dizaine de jours plus tôt, ladite audience vit défiler à la barre et tour à tour les hommes de lois du procureur et ceux de la défense. Au regard de la gravité des accusations portées comme le désormais ex- homme fort d’Abidjan, accusation et défense ne se firent point de cadeau ; si pour la première, l’homme mérite qu’on l’accable des crimes contre l’humanité qu’on lui reproche, la défense trouve, elle, qu’à supposer que procès il doive y avoir, Gbagbo devrait être jugé en territoire ivoirien. suite de l'article sur
Ouverte une dizaine de jours plus tôt, ladite audience vit défiler à la barre et tour à tour les hommes de lois du procureur et ceux de la défense. Au regard de la gravité des accusations portées comme le désormais ex- homme fort d’Abidjan, accusation et défense ne se firent point de cadeau ; si pour la première, l’homme mérite qu’on l’accable des crimes contre l’humanité qu’on lui reproche, la défense trouve, elle, qu’à supposer que procès il doive y avoir, Gbagbo devrait être jugé en territoire ivoirien. suite de l'article sur