Le jeudi 28 février. Le tam-tam parleur résonne. Tout le monde accourt vers la place publique. Un vent frais souffle. Les tisserins ont arrêté leur envol. Le train a arrêté de sifflé.
Le travail également. Personne ne veut rater l’événement. Ceux qui mangeaient ont arrêté de manger. Ceux qui dormaient se sont réveillés. Tout le monde se pose de savoir ce qui se passe. Les nouvelles sont bonnes. Le Président Laurent Gbagbo, le Woody de Mama, le fils de Gado Marguérite, le Séplou, le lion, le baobab, le digne fils d’Afrique, l’homme qui ne recule pas devant la tornade, Soundjata, l’animal politique, Dabiekossou a un message pour le monde entier. Il a parlé. Un seul mot a suffit pour que le monde soit guérit. Les aveugles retrouvent la vue. Les muets, l’usage de la parole. Les sourds retrouvent l’ouïe.
Les handicapés marchent. Les plus sceptiques retrouvent le sourire et l’espoir. Ceux qui ont dit que le Président Laurent Gbagbo est fini sont entrés dans leur coquille. Parce qu’ils ne connaissent qui est l’homme Gbagbo. «J’ai tout fait pour que la discussion avance. C’est à Prétoria en 2005 que j’ai demandé à Thabo Mbeki de tout faire pour qu’on trouve une solution. C’était bien Ouattara qui faisait la traduction entre moi et Mbéki. C’est encore moi qui ai pris l’article 48 de la Constitution pour faire de Ouattara et Bédié des candidats», fait-il remarquer. Et de poursuivre : «J’ai été choqué lorsque madame la procureure a dit qu’on n’était pas là pour savoir qui a gagné les élections. Mais je crois que c’est celui qui a perdu les élections qui veut semer le trouble ? C’est bien cela le fond du problème. Je suis un homme de droit. J’ai écris beaucoup de livres sur la démocratie. Madame, la Démocratie nous aide. Mais la démocratie n’est pas seulement le vote, c’est qui dit le vote, les résultats des votes». Une leçon que chacun doit retenir : Le plus rapide peut perdre la course. Le plus habile peut rater la cible. Le plus sage peut faire des bêtises. Le plus fort peut perdre la bataille. Le plus intelligent peut échouer à un examen. Mais celui qui a foi en Dieu a toujours la victoire. Le seul grain de maïs enfouit en terre donne de nouveaux épis. Tout comme le Christ, il a fallu la trahison de Judas pour que le monde soit sauvé. La victoire appartient à ceux qui ont la faveur de Dieu. Il faut le prier et le louer. Et faire sa volonté. Afin qu’il puisse vous accorder le courage. Quelque soit la longueur de la nuit, le jour finira toujours par arriver. Rien n’est éternel sur la terre des hommes. Les hommes passent mais le pays demeure. Le Président Laurent Gbagbo reviendra parmi son peuple pour le conduire vers la terre promise. L’écrivain Margaret Mead n’a pas tort de dire : «Ne doutez jamais qu’un petit nombre de personnes peut changer le monde. En fait, c’est toujours ainsi que cela s’est produit». Et Gbagbo va changer le monde A bon entendeur salut!
Yacouba Gbané
Le travail également. Personne ne veut rater l’événement. Ceux qui mangeaient ont arrêté de manger. Ceux qui dormaient se sont réveillés. Tout le monde se pose de savoir ce qui se passe. Les nouvelles sont bonnes. Le Président Laurent Gbagbo, le Woody de Mama, le fils de Gado Marguérite, le Séplou, le lion, le baobab, le digne fils d’Afrique, l’homme qui ne recule pas devant la tornade, Soundjata, l’animal politique, Dabiekossou a un message pour le monde entier. Il a parlé. Un seul mot a suffit pour que le monde soit guérit. Les aveugles retrouvent la vue. Les muets, l’usage de la parole. Les sourds retrouvent l’ouïe.
Les handicapés marchent. Les plus sceptiques retrouvent le sourire et l’espoir. Ceux qui ont dit que le Président Laurent Gbagbo est fini sont entrés dans leur coquille. Parce qu’ils ne connaissent qui est l’homme Gbagbo. «J’ai tout fait pour que la discussion avance. C’est à Prétoria en 2005 que j’ai demandé à Thabo Mbeki de tout faire pour qu’on trouve une solution. C’était bien Ouattara qui faisait la traduction entre moi et Mbéki. C’est encore moi qui ai pris l’article 48 de la Constitution pour faire de Ouattara et Bédié des candidats», fait-il remarquer. Et de poursuivre : «J’ai été choqué lorsque madame la procureure a dit qu’on n’était pas là pour savoir qui a gagné les élections. Mais je crois que c’est celui qui a perdu les élections qui veut semer le trouble ? C’est bien cela le fond du problème. Je suis un homme de droit. J’ai écris beaucoup de livres sur la démocratie. Madame, la Démocratie nous aide. Mais la démocratie n’est pas seulement le vote, c’est qui dit le vote, les résultats des votes». Une leçon que chacun doit retenir : Le plus rapide peut perdre la course. Le plus habile peut rater la cible. Le plus sage peut faire des bêtises. Le plus fort peut perdre la bataille. Le plus intelligent peut échouer à un examen. Mais celui qui a foi en Dieu a toujours la victoire. Le seul grain de maïs enfouit en terre donne de nouveaux épis. Tout comme le Christ, il a fallu la trahison de Judas pour que le monde soit sauvé. La victoire appartient à ceux qui ont la faveur de Dieu. Il faut le prier et le louer. Et faire sa volonté. Afin qu’il puisse vous accorder le courage. Quelque soit la longueur de la nuit, le jour finira toujours par arriver. Rien n’est éternel sur la terre des hommes. Les hommes passent mais le pays demeure. Le Président Laurent Gbagbo reviendra parmi son peuple pour le conduire vers la terre promise. L’écrivain Margaret Mead n’a pas tort de dire : «Ne doutez jamais qu’un petit nombre de personnes peut changer le monde. En fait, c’est toujours ainsi que cela s’est produit». Et Gbagbo va changer le monde A bon entendeur salut!
Yacouba Gbané