Le nom du Président Laurent Gbagbo ne rime qu’avec la paix. En effet, la «paz» comme le disent les Espagnol, est la véritable idiosyncrasie de ce démocrate hors pair qu’est le fondateur du Front populaire ivoirien (Fpi). Durant la dizaine d’années de sa présidence qui a été fortement émaillée par une guerre absurde que lui ont imposée la France et l’Onu via une rébellion, il n’a de cesse de privilégier le règlement pacifique de ce qu’il convient d’appeler «la crise ivoirienne». Dès les premiers jours de situation chaotique qui ne lui a pas permis de réaliser les nobles ambitions qu’il nourrissait pour son digne et souverain peuple ivoirien, le Président Laurent Gbagbo n’a pas hésité explorer les voies de la non violence.
La série de négociations hors des frontières ivoiriennes qu’il a acceptées en est les parfaites illustrations. De Lomé I et II aux Accords de Ouagadougou en transitant par Marcoussis, Accra I et II et Pretoria I, II, III, le Président Laurent Gbagbo, le véritable père de la démocratie en Côte d’Ivoire s’est engagé sincèrement et résolument pour éviter l’effusion de sang et surtout la guerre, dans son pays. A toutes ces différentes expéditions, il n’a ménagé aucun effort pour aboutir à une fin de crise par le dialogue qui est l’arme des hommes forts dont il est le véritable exemple. Déterminé et sincère, il a joué franchement sa partition pour priver la Côte d’Ivoire d’une guerre qui la tirerait vers le bas en Afrique et dans le concert des Nations. Hélas ! Mille fois hélas ! En face, les …ex-rebelles, astucieusement et malicieusement pistonnés par les tutelles occidentales avec à leur tête la grande France de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy, le principal chef d’orchestre, n’ont pas joué franc jeux. Le recomptage des voix qui a eu droit de cité dans certaines grandes puissances dont les Etats Unis, le Président Laurent Gbagbo l’avait préconisé. Cette proposition emprunte d’honnêteté, de bon sens voire d’équité, a été foulé au pied par Sarkozy qui était l’arbitre central qui s’est singularisé par une partialité notoire et sans précédent. Et au finish, la Côte d’Ivoire s’est embrasée grâce à l’appui patent du même Nicolas Sarkozy. Qui, avec tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre ont contrarié le Président Laurent Gbagbo dans son élan patriotique, répondront également, tôt ou tard, de leurs actes, à la Cour pénale internationale (Cpi) à La Haye, la loi de la causalité étant infaillible. Et il ne pourrait en être autrement.
Philomène Aquouama
La série de négociations hors des frontières ivoiriennes qu’il a acceptées en est les parfaites illustrations. De Lomé I et II aux Accords de Ouagadougou en transitant par Marcoussis, Accra I et II et Pretoria I, II, III, le Président Laurent Gbagbo, le véritable père de la démocratie en Côte d’Ivoire s’est engagé sincèrement et résolument pour éviter l’effusion de sang et surtout la guerre, dans son pays. A toutes ces différentes expéditions, il n’a ménagé aucun effort pour aboutir à une fin de crise par le dialogue qui est l’arme des hommes forts dont il est le véritable exemple. Déterminé et sincère, il a joué franchement sa partition pour priver la Côte d’Ivoire d’une guerre qui la tirerait vers le bas en Afrique et dans le concert des Nations. Hélas ! Mille fois hélas ! En face, les …ex-rebelles, astucieusement et malicieusement pistonnés par les tutelles occidentales avec à leur tête la grande France de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy, le principal chef d’orchestre, n’ont pas joué franc jeux. Le recomptage des voix qui a eu droit de cité dans certaines grandes puissances dont les Etats Unis, le Président Laurent Gbagbo l’avait préconisé. Cette proposition emprunte d’honnêteté, de bon sens voire d’équité, a été foulé au pied par Sarkozy qui était l’arbitre central qui s’est singularisé par une partialité notoire et sans précédent. Et au finish, la Côte d’Ivoire s’est embrasée grâce à l’appui patent du même Nicolas Sarkozy. Qui, avec tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre ont contrarié le Président Laurent Gbagbo dans son élan patriotique, répondront également, tôt ou tard, de leurs actes, à la Cour pénale internationale (Cpi) à La Haye, la loi de la causalité étant infaillible. Et il ne pourrait en être autrement.
Philomène Aquouama