Le professeur Alassane Salif Ndiaye est décédé hier à l’âge de 71 ans, à Paris, une ville qu’il connaissait bien pour y avoir étudié et enseigné à l’université, et pour y avoir aussi représenté son pays, la Côte d’Ivoire, en tant qu’ambassadeur plénipotentiaire.
Figure incontournable du monde de la recherche universitaire en Côte d’Ivoire (en effet, il a été Doyen de la Faculté des Sciences et Techniques de l’Université Houphouët Boigny (anciennement université Nationale de CI) de 1983 à 1986, Professeur émérite de biologie cellulaire et d’embryologie des universités en France et en Côte d’Ivoire, Homme politique , Secrétaire-général de l’UDPCI, Maire de Gagnoa (1990 à 1995), Ministre de la République de Côte d’Ivoire(de 1986 à 1993), Ambassadeur de Côte d’ivoire au Sénégal, Mauritanie, Cap-Vert, Gambie et Ambassadeur de Côte d’Ivoire en France ; Le professeur Alassane Salif N’diaye était à la fois un intellectuel de haut calibre, un scientifique, un homme politique et un homme de culture, tout simplement.
Docteur d’Etat ès Sciences de l’Université Pierre & Marie Curie de Paris, il avait effectué son post-doc à l’université du Michigan à Ann Harbor aux Etats-Unis.
Travailleur acharné et toujours passionné, le professeur Alassane Salif N’diaye avait reçu de son vivant de nombreuses distinctions nationales et décorations étrangères:
-Commandeur des Palmes Académiques Françaises
-Commandeur de l`Ordre du Lion (Sénégal)
-Grand Officier de l`Ordre National (Portugal)
-Officier de l’Ordre de l’Education Nationale de Côte d’Ivoire
-Commandeur de l’Ordre de la Culture de Côte d’Ivoire
-Commandeur de l’Ordre du Mérite de Côte d’Ivoire
L’exemple de la vie du professeur Alassane Salif N’diaye est un témoignage, une invitation aux jeunes ivoiriens d’aujourd’hui, acteurs du développement de demain, pour qu’ils creusent, après leurs ainés, encore plus profonds, les sillons tracés par feu son Excellence Félix Houphouët Boigny, dont il fut un proche collaborateur.
Parfois le professeur Alassane Salif Ndiaye dérangeait, c’est vrai, mais aujourd’hui qu’il n’est plus là il manque déjà. Parce que sans lui le monde universitaire ainsi que le monde politique ivoirien sont, d’une certaine façon, orphelins.
Au nom de la rédaction, nous présentons aussi toutes nos condoléances à Khady, la veuve du professeur Alassane Salif N’DIAYE et aussi à ses enfants Aïda, Salif et Adama ainsi qu’à sa petite-fille Makani.
Figure incontournable du monde de la recherche universitaire en Côte d’Ivoire (en effet, il a été Doyen de la Faculté des Sciences et Techniques de l’Université Houphouët Boigny (anciennement université Nationale de CI) de 1983 à 1986, Professeur émérite de biologie cellulaire et d’embryologie des universités en France et en Côte d’Ivoire, Homme politique , Secrétaire-général de l’UDPCI, Maire de Gagnoa (1990 à 1995), Ministre de la République de Côte d’Ivoire(de 1986 à 1993), Ambassadeur de Côte d’ivoire au Sénégal, Mauritanie, Cap-Vert, Gambie et Ambassadeur de Côte d’Ivoire en France ; Le professeur Alassane Salif N’diaye était à la fois un intellectuel de haut calibre, un scientifique, un homme politique et un homme de culture, tout simplement.
Docteur d’Etat ès Sciences de l’Université Pierre & Marie Curie de Paris, il avait effectué son post-doc à l’université du Michigan à Ann Harbor aux Etats-Unis.
Travailleur acharné et toujours passionné, le professeur Alassane Salif N’diaye avait reçu de son vivant de nombreuses distinctions nationales et décorations étrangères:
-Commandeur des Palmes Académiques Françaises
-Commandeur de l`Ordre du Lion (Sénégal)
-Grand Officier de l`Ordre National (Portugal)
-Officier de l’Ordre de l’Education Nationale de Côte d’Ivoire
-Commandeur de l’Ordre de la Culture de Côte d’Ivoire
-Commandeur de l’Ordre du Mérite de Côte d’Ivoire
L’exemple de la vie du professeur Alassane Salif N’diaye est un témoignage, une invitation aux jeunes ivoiriens d’aujourd’hui, acteurs du développement de demain, pour qu’ils creusent, après leurs ainés, encore plus profonds, les sillons tracés par feu son Excellence Félix Houphouët Boigny, dont il fut un proche collaborateur.
Parfois le professeur Alassane Salif Ndiaye dérangeait, c’est vrai, mais aujourd’hui qu’il n’est plus là il manque déjà. Parce que sans lui le monde universitaire ainsi que le monde politique ivoirien sont, d’une certaine façon, orphelins.
Au nom de la rédaction, nous présentons aussi toutes nos condoléances à Khady, la veuve du professeur Alassane Salif N’DIAYE et aussi à ses enfants Aïda, Salif et Adama ainsi qu’à sa petite-fille Makani.