Une délégation chargée de s’imprégner des réalités de protection de l’environnement du Rwanda a, au cours d’une cérémonie de restitution du rapport de la mission d’études et d’échanges d’expériences, apporté des éclaircissements sur le plan et la vision qu’elle compte adopter afin de préserver l’environnement en Côte d’Ivoire.
De retour depuis le 9 février 2013, la forte délégation ivoirienne composée de représentants de l’Assemblée nationale, du Conseil économique et social, du ministère de l’Environnement, de la Salubrité et de Développement durable et de comités villageois de développement de Yacolidabouo et d’Assinie-Mafia a restitué le rapport de la mission d’études et d’échanges d’expériences au président du Conseil économique et social, Zadi Kessy. C’était au Siège de l’institution, le 28 février 2013, en présence d’une forte délégation du programme des Nations unies pour le développement. Au cours de cette cérémonie, tous les membres ont rendu témoignage de la prise de conscience des Rwandais dans la protection de l’environnement. « Aujourd’hui, au Rwanda, aucun sachet plastique ne rentre sur le territoire. Ni par les aéroports ni par les frontières. Et tous les citoyens rwandais sont impliqués dans la protection quotidienne des villes du pays », a fait savoir Dr Aboua Gustave, membre de la délégation. Le Rwanda a réussi sa politique de pays vert, « car, le Président de la République rwandaise, Paul Kagamé, est en contact direct avec la population. Toutes les autorités politiques et toutes les personnes responsables d’une localité sont tenues de faire le bilan en présence des populations. Et ceux qui ont un bilan égal ou inférieur à 65% de leurs missions sont destitués », a révélé l’Honorable Clarisse Kayo, responsable de la commission de l’environnement à l’Assemblée nationale, par ailleurs, membre de la délégation ivoirienne. Pour sa part, Zadi Kessi s’est montré clair. « Si on est né sale, on restera toujours sale », a-t-il indiqué, afin d’inviter les Ivoiriens à insérer dans le plan de l’éducation, la notion de la protection de l’environnement. « Même avec le décret qui va être adopté, interdisant l’usage des sachets plastiques, si l’éducation manque, rien ne pourra réussir. Tout doit partir des ménages. C’est pourquoi, j’ai souhaité : ‘‘ la création de Yacolidabouo village : école ouverte », a précisé Zadi Kessi. Cette mission, selon les membres de la délégation, a été fructueuse.
G.O.D
De retour depuis le 9 février 2013, la forte délégation ivoirienne composée de représentants de l’Assemblée nationale, du Conseil économique et social, du ministère de l’Environnement, de la Salubrité et de Développement durable et de comités villageois de développement de Yacolidabouo et d’Assinie-Mafia a restitué le rapport de la mission d’études et d’échanges d’expériences au président du Conseil économique et social, Zadi Kessy. C’était au Siège de l’institution, le 28 février 2013, en présence d’une forte délégation du programme des Nations unies pour le développement. Au cours de cette cérémonie, tous les membres ont rendu témoignage de la prise de conscience des Rwandais dans la protection de l’environnement. « Aujourd’hui, au Rwanda, aucun sachet plastique ne rentre sur le territoire. Ni par les aéroports ni par les frontières. Et tous les citoyens rwandais sont impliqués dans la protection quotidienne des villes du pays », a fait savoir Dr Aboua Gustave, membre de la délégation. Le Rwanda a réussi sa politique de pays vert, « car, le Président de la République rwandaise, Paul Kagamé, est en contact direct avec la population. Toutes les autorités politiques et toutes les personnes responsables d’une localité sont tenues de faire le bilan en présence des populations. Et ceux qui ont un bilan égal ou inférieur à 65% de leurs missions sont destitués », a révélé l’Honorable Clarisse Kayo, responsable de la commission de l’environnement à l’Assemblée nationale, par ailleurs, membre de la délégation ivoirienne. Pour sa part, Zadi Kessi s’est montré clair. « Si on est né sale, on restera toujours sale », a-t-il indiqué, afin d’inviter les Ivoiriens à insérer dans le plan de l’éducation, la notion de la protection de l’environnement. « Même avec le décret qui va être adopté, interdisant l’usage des sachets plastiques, si l’éducation manque, rien ne pourra réussir. Tout doit partir des ménages. C’est pourquoi, j’ai souhaité : ‘‘ la création de Yacolidabouo village : école ouverte », a précisé Zadi Kessi. Cette mission, selon les membres de la délégation, a été fructueuse.
G.O.D