Bouaflé – Les commissions départementales de la carte scolaire 2012-2013, dans la région de la Marahoué, se disent favorables à la disparition progressive des écoles de fortune construites en matériaux provisoires.
Lors de la présentation, jeudi, des rapports de travaux à Bouaflé, en vue de leur validation par la commission régionale, les commissions de Bouaflé, Sinfra et de Zuénoula ont souligné que la construction des écoles en dur contribuera à l’élimination de celles en matériaux provisoires qui n’offrent pas un cadre approprié et sécurisé pour les enseignants et les élèves.
La commission départementale de Zuénoula a donc sollicité les collectivités locales pour la réalisation complète de toutes les écoles adoptées par la carte scolaire, conformément au délai indiqué.
La commission les a exhortées à s’exécuter, malgré les difficultés de trésorerie, afin de répondre aux besoins de la population en matière de scolarisation qui se fait grandissante au fil des années.
Dans le rapport de la commission de Bouaflé, N’Zi Pascal, secrétaire général du syndicat national de l’enseignement primaire public de Côte d’Ivoire (SNEPPCI), a souhaité que les écoles construites en matériaux provisoires ne soient plus autorisées à s’ouvrir car, a-t-il ajouté, il y va de la sécurité et de la dignité du corps enseignant et des élèves.
Outre les écoles de fortune, la commission de Sinfra a déploré la situation des écoles primaires publiques non clôturées qui constituent un danger réel et permanent pour les élèves.
La commission a cité l’exemple du groupe scolaire de Douafla non clôturé et situé entre deux axes routiers à grande circulation.
Elle a demandé à la mairie de faire clôturer cet établissement, afin de mettre les élèves à l’abri de tout danger.
La commission régionale présidée par le préfet de région et du département de Bouaflé, Gbamélé Adrien, a adopté par acclamation les rapports des travaux des commissions départementales de la carte scolaire 2012-2013 dans la Marahoué.
(AIP)
Zaar/kp
Lors de la présentation, jeudi, des rapports de travaux à Bouaflé, en vue de leur validation par la commission régionale, les commissions de Bouaflé, Sinfra et de Zuénoula ont souligné que la construction des écoles en dur contribuera à l’élimination de celles en matériaux provisoires qui n’offrent pas un cadre approprié et sécurisé pour les enseignants et les élèves.
La commission départementale de Zuénoula a donc sollicité les collectivités locales pour la réalisation complète de toutes les écoles adoptées par la carte scolaire, conformément au délai indiqué.
La commission les a exhortées à s’exécuter, malgré les difficultés de trésorerie, afin de répondre aux besoins de la population en matière de scolarisation qui se fait grandissante au fil des années.
Dans le rapport de la commission de Bouaflé, N’Zi Pascal, secrétaire général du syndicat national de l’enseignement primaire public de Côte d’Ivoire (SNEPPCI), a souhaité que les écoles construites en matériaux provisoires ne soient plus autorisées à s’ouvrir car, a-t-il ajouté, il y va de la sécurité et de la dignité du corps enseignant et des élèves.
Outre les écoles de fortune, la commission de Sinfra a déploré la situation des écoles primaires publiques non clôturées qui constituent un danger réel et permanent pour les élèves.
La commission a cité l’exemple du groupe scolaire de Douafla non clôturé et situé entre deux axes routiers à grande circulation.
Elle a demandé à la mairie de faire clôturer cet établissement, afin de mettre les élèves à l’abri de tout danger.
La commission régionale présidée par le préfet de région et du département de Bouaflé, Gbamélé Adrien, a adopté par acclamation les rapports des travaux des commissions départementales de la carte scolaire 2012-2013 dans la Marahoué.
(AIP)
Zaar/kp