Bouaflé, L’entreprise sucière « Sucrivoire », installée dans le département de Zuenoula, localité située à 60 km de Bouaflé, envisage la construction d’un établissement secondaire sur son site, a fait savoir son directeur de l’unité Agricole intégrée, Akpangni Michel, dans une correspondance adressée au sous-préfet de la localité, dont l'AIP a reçu copie dimanche.
Pour mener à bien ce projet, Akpangni Michel a souhaité s’inscrire sur la carte scolaire régionale 2012- 2013 dont les travaux des différentes commissions départementales ont été validés jeudi, à Bouaflé, en présence du préfet de région de la Marahoué, Gbamélé Adrien.
Le dirigeants du complexe sucrier de Zuenoula expliquent les raisons de cette initiative par le fait que les effectifs dans les établissements primaires dont dispose leur site sont de plus en plus importants, obligeant les enfants de 11 ans en moyenne, admis à l’examen d’entrée en sixième, à se diriger vers des villes souvent très éloignées.
Pour M. Akpangni, cet éloignement des enfants de leurs parents empêche un bon suivi de leurs résultats scolaires, un bon encadrement, mais aussi les expose à de nombreux risques notamment l’abandon systématique de l’école.
Akpangni Michel a indiqué dans son courrier que le collège qui sera bientôt construit par sa société disposera des infrastructures existantes dont bénéficient déjà les sept établissements primaires. Il s'agit, entre autres, d' un centre de santé, un marché permanent, l’électricité, l’eau courante et les logements pour le personnel enseignant et administratif.
(AIP)
zaar/tm
Pour mener à bien ce projet, Akpangni Michel a souhaité s’inscrire sur la carte scolaire régionale 2012- 2013 dont les travaux des différentes commissions départementales ont été validés jeudi, à Bouaflé, en présence du préfet de région de la Marahoué, Gbamélé Adrien.
Le dirigeants du complexe sucrier de Zuenoula expliquent les raisons de cette initiative par le fait que les effectifs dans les établissements primaires dont dispose leur site sont de plus en plus importants, obligeant les enfants de 11 ans en moyenne, admis à l’examen d’entrée en sixième, à se diriger vers des villes souvent très éloignées.
Pour M. Akpangni, cet éloignement des enfants de leurs parents empêche un bon suivi de leurs résultats scolaires, un bon encadrement, mais aussi les expose à de nombreux risques notamment l’abandon systématique de l’école.
Akpangni Michel a indiqué dans son courrier que le collège qui sera bientôt construit par sa société disposera des infrastructures existantes dont bénéficient déjà les sept établissements primaires. Il s'agit, entre autres, d' un centre de santé, un marché permanent, l’électricité, l’eau courante et les logements pour le personnel enseignant et administratif.
(AIP)
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