Dans la nuit du mardi à mercredi, des sinistres individus ont encore frappé à l’Ouest. Venus du Liberia, des hommes en armes ont lâchement assassiné deux éléments des FRCI en poste dans le village de Zilébly. Dans leur folie meurtrière, ils n’ont pas épargné quatre habitants de ce petit village situé dans le département de Bloléquin. Cette attaque intervient une fois encore au moment où le pouvoir, chaque jour, est en train de réaliser des avancées en matière de sécurité. L’inauguration par le président de la République du Centre de Coordination des Décisions opérationnelles (CCDO) le lundi dernier, n’a pas du tout plu aux ennemis de la paix qui ont décidé de s’en prendre à de pauvres citoyens sans défense. Rien que pour faire croire à l’opinion que l’insécurité persiste toujours en Côte d’Ivoire. Ces sanguinaires veulent par ces actes lâches de terrorisme semer la psychose au sein de la population. Mais au fond, à qui l’on fait du mal ? A personne. Encore moins aux autorités de ce pays. Ces terroristes d’un autre âge et leurs commanditaires font surtout du mal aux populations qu’ils prétendent servir et défendre. Les victimes de Zilébly ont-ils demandé à mourir ? Assurément pas. Mais pour des raisons politiciennes, on a décidé de les sacrifier. Pour faire avancer quoi ? Une cause que l’on sait perdue d’avance ? Ceux qui veulent replonger la Côte d’Ivoire dans la violence ne parviendront pas à leurs fins. Car depuis la grave crise qu’a connue ce pays, les Ivoiriens aspirent à une chose. Vivre en paix. Les attaques terroristes peuvent continuer. Mais la Côte d’Ivoire continuera sa marche irréversible vers le développement. Car personne ne peut arrêter ce que le Tout-puissant a décidé pour elle. Les ennemis de la paix, tôt ou tard, avec l’aide de Dieu, seront vaincus. Pour la simple raison que nul ne peut s’attaquer impunément à quelqu’un qui est sans défense. Surtout en temps de paix. « A moi la vengeance. A moi la rétribution », dit l’Eternel des armées.
JCC
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