Tête de liste de l’Union pour le Développement de la commune de Zikisso « UDZ », le candidat Adama Diomandé a fait cette profession de foi.
Frères et sœurs de Zikisso.
J’ai fait le choix de venir à Zikisso, la terre où je suis né, la terre de ZIKISSO que mon père a aimée, pour me soumettre au suffrage des citoyens de cette commune à l’occasion de la prochaine élection municipale. Ceux qui me connaissent savent que ma vie, au cours des dernières décennies, s’est déroulée loin d’ici, en France.
Mais ils savent aussi que cette vie a été une vie de labeur, de père de famille responsable et d’engagement politique. Non pas un engagement politique partisan mais en faveur du droit du peuple et de ses libertés.
Il s’est trouvé que l’homme qui répondait alors à ces préoccupations a été Alassane Ouattara. Quand je me suis engagé politiquement, à travers cet homme, qui n’avait pas encore pris la présidence du RDR j’ai défendu ses idéaux et son ambition pour notre Pays.
Il est aujourd’hui président de la République, autrement dit le président de tous les Ivoiriens. Quant à moi, après avoir mené un rude combat politique en France et tout particulièrement à Paris, un combat dont les échos sont parvenus jusqu’en Côte d’Ivoire, j’ai fait le choix de venir à Zikisso.
Pourquoi ? Parce que le combat que j’ai engagé politiquement quand j’étais encore un jeune homme, il me faut le poursuivre aujourd’hui, à l’âge d’avant retraite. Nulle vanité, nulle ambition dans cette démarche. Nul souci de « faire mon trou » au pays. Seulement la perception que, dans le contexte actuel, la Côte d’Ivoire a besoin de tous ses fils et de toutes ses filles, et Zikisso aussi.
J’ai une longue expérience politique, j’ai de nombreux contacts noués en Europe et en Afrique. C’est ici, là où je suis né, sur la terre que mon Père a aimé la terre de ZIKISSO j’entends prolonger, avec vous, ensemble, ce combat pour plus de justice, plus d’égalité, plus de prise en considération des besoins d’une commune qui a été, dans les mois et les années passés, trop souvent stigmatisée comme un fief « politique », inféodé aux partis et aux hommes qui font que de la politique.
Ce temps est révolu. Nous avons un président de la République, nous avons des institutions, nous avons des élections. Il s’agit de dire, fermement, où nous voulons aller, comment nous voulons y aller, et avec qui nous voulons y aller.
Nul n’ignore mes affinités avec le RDR. Mais à ZIKISSO je suis le candidat du rassemblement. Un rassemblement authentique, sincère, sur le terrain qui vise à ce que, tous ensemble, nous puissions exprimer et revendiquer notre part du développement économique et social que le Président Alassane Ouattara promet à tous les Ivoiriens.
Je ne suis pas un homme de parti, un homme d’appareil, un haut fonctionnaire ou un bureaucrate. Je ne suis pas non plus un homme d’affaires. Je suis un homme de Zikisso, un homme de conviction, qui estime que, désormais, c’est ici et nulle part ailleurs qu’il me faut poursuivre le combat politique pour le développement engagé voici plusieurs décennies.
La situation de notre commune est difficile ; pour ne pas dire dramatique en certains domaines tout particulièrement ceux liée à la situation des jeunes et de nos aînés : éducation, emploi, santé… Les maux dont nous souffrons sont multiples.
La situation conflictuelle qui a prévalu dans notre pays depuis trop longtemps, pas loin d’un quart de siècle, a divisé les Ivoiriens tout autant qu’elle a divisé le pays. Nous, nous sommes d’ici avant d’être des PDCI, des FPI, des RDR ou d’autres choses encore.
La guerre est finie. Il faut aujourd’hui obtenir les moyens de notre développement économique et social. C’est pourquoi je viens me soumettre au suffrage des électeurs en candidat indépendant.
Candidat indépendant car je veux être, d’abord, le candidat du rassemblement. Indépendant ne veut pas dire démuni de soutiens. Pas des soutiens bureaucratiques ou du bout des lèvres comme on le fait, trop souvent, à Abidjan, où on pense d’abord à soi avant de penser aux autres, à sa carrière avant de penser à son pays ou à son village.Des soutiens d’hommes et de femmes engagés sur le terrain du rassemblement politique, toutes appartenances confondues, qui veulent aujourd’hui engager, ensemble, le combat pour le développement économique et social de notre commune.
Je ne viens pas pour diviser, fustiger ou stigmatiser. Je viens pour rassembler. Je ne viens pas d’ailleurs. Je viens d’ici. Mais avec une expérience qui, elle, vient d’ailleurs : de l’Europe, de la France, de la capitale. Mais aussi de la classe politique. Celle qui est au pouvoir depuis plus de deux ans désormais chacun des partis politiques qui a eu à gouverner la Côte d’Ivoire a fait sa part d’erreurs, parfois dramatiques, qui ont conduit notre pays au chaos. Les hommes qui nous gouvernent ne peuvent pas tout faire. Ils sont loin d’ici, à plus de 200 km. Ce qu’on leur dit de Zikisso, Je veux être la voix de Zikisso, ici, mais aussi à Yamoussoukro, à Abidjan et ailleurs. Nous sommes des hommes et des femmes, des vieillards et des enfants, qui n’avons cessé de souffrir du désintérêt des autres pour ce que nous sommes.
Nous avons une terre qui est riche et nous savons la travailler. Mais regardez là où nous vivons, parfois dans le dénuement le plus complet en ce qui concerne les infrastructures économiques et sociales. Si nous restons terrés dans notre coin, nous n’obtiendrons rien. Si nous sommes rassemblés, nous pouvons exiger ce qui nous revient. Par le dialogue avec l’administration et les institutions, par le dialogue avec les décideurs politiques et les opérateurs économiques.
Je n’ai pas d’illusions. Je sais que ceux qui nous gouvernent, quelles que soient par ailleurs leurs qualités, pensent que le pouvoir c’est d’abord les affaires politiques qui se déroulent dans la capitale mais aussi les affaires économiques qui concernent, elles aussi, d’abord, la capitale. Notre capitale à nous s’appelle Zikisso. C’est ici que nous devons conduire avec fermeté nos affaires politiques et nos affaires économiques. C’est dans cette perspective que je m’engage auprès de vous, avec vous, pour que, rassemblés nous puissions, enfin, nous consacrer pleinement au développement de notre commune. Pour l’arrimer à la perceptive de l’émergence de notre chère Côte d’Ivoire préconisé par le Président de la République pour l’an 2020.
Adama Diomandé
Frères et sœurs de Zikisso.
J’ai fait le choix de venir à Zikisso, la terre où je suis né, la terre de ZIKISSO que mon père a aimée, pour me soumettre au suffrage des citoyens de cette commune à l’occasion de la prochaine élection municipale. Ceux qui me connaissent savent que ma vie, au cours des dernières décennies, s’est déroulée loin d’ici, en France.
Mais ils savent aussi que cette vie a été une vie de labeur, de père de famille responsable et d’engagement politique. Non pas un engagement politique partisan mais en faveur du droit du peuple et de ses libertés.
Il s’est trouvé que l’homme qui répondait alors à ces préoccupations a été Alassane Ouattara. Quand je me suis engagé politiquement, à travers cet homme, qui n’avait pas encore pris la présidence du RDR j’ai défendu ses idéaux et son ambition pour notre Pays.
Il est aujourd’hui président de la République, autrement dit le président de tous les Ivoiriens. Quant à moi, après avoir mené un rude combat politique en France et tout particulièrement à Paris, un combat dont les échos sont parvenus jusqu’en Côte d’Ivoire, j’ai fait le choix de venir à Zikisso.
Pourquoi ? Parce que le combat que j’ai engagé politiquement quand j’étais encore un jeune homme, il me faut le poursuivre aujourd’hui, à l’âge d’avant retraite. Nulle vanité, nulle ambition dans cette démarche. Nul souci de « faire mon trou » au pays. Seulement la perception que, dans le contexte actuel, la Côte d’Ivoire a besoin de tous ses fils et de toutes ses filles, et Zikisso aussi.
J’ai une longue expérience politique, j’ai de nombreux contacts noués en Europe et en Afrique. C’est ici, là où je suis né, sur la terre que mon Père a aimé la terre de ZIKISSO j’entends prolonger, avec vous, ensemble, ce combat pour plus de justice, plus d’égalité, plus de prise en considération des besoins d’une commune qui a été, dans les mois et les années passés, trop souvent stigmatisée comme un fief « politique », inféodé aux partis et aux hommes qui font que de la politique.
Ce temps est révolu. Nous avons un président de la République, nous avons des institutions, nous avons des élections. Il s’agit de dire, fermement, où nous voulons aller, comment nous voulons y aller, et avec qui nous voulons y aller.
Nul n’ignore mes affinités avec le RDR. Mais à ZIKISSO je suis le candidat du rassemblement. Un rassemblement authentique, sincère, sur le terrain qui vise à ce que, tous ensemble, nous puissions exprimer et revendiquer notre part du développement économique et social que le Président Alassane Ouattara promet à tous les Ivoiriens.
Je ne suis pas un homme de parti, un homme d’appareil, un haut fonctionnaire ou un bureaucrate. Je ne suis pas non plus un homme d’affaires. Je suis un homme de Zikisso, un homme de conviction, qui estime que, désormais, c’est ici et nulle part ailleurs qu’il me faut poursuivre le combat politique pour le développement engagé voici plusieurs décennies.
La situation de notre commune est difficile ; pour ne pas dire dramatique en certains domaines tout particulièrement ceux liée à la situation des jeunes et de nos aînés : éducation, emploi, santé… Les maux dont nous souffrons sont multiples.
La situation conflictuelle qui a prévalu dans notre pays depuis trop longtemps, pas loin d’un quart de siècle, a divisé les Ivoiriens tout autant qu’elle a divisé le pays. Nous, nous sommes d’ici avant d’être des PDCI, des FPI, des RDR ou d’autres choses encore.
La guerre est finie. Il faut aujourd’hui obtenir les moyens de notre développement économique et social. C’est pourquoi je viens me soumettre au suffrage des électeurs en candidat indépendant.
Candidat indépendant car je veux être, d’abord, le candidat du rassemblement. Indépendant ne veut pas dire démuni de soutiens. Pas des soutiens bureaucratiques ou du bout des lèvres comme on le fait, trop souvent, à Abidjan, où on pense d’abord à soi avant de penser aux autres, à sa carrière avant de penser à son pays ou à son village.Des soutiens d’hommes et de femmes engagés sur le terrain du rassemblement politique, toutes appartenances confondues, qui veulent aujourd’hui engager, ensemble, le combat pour le développement économique et social de notre commune.
Je ne viens pas pour diviser, fustiger ou stigmatiser. Je viens pour rassembler. Je ne viens pas d’ailleurs. Je viens d’ici. Mais avec une expérience qui, elle, vient d’ailleurs : de l’Europe, de la France, de la capitale. Mais aussi de la classe politique. Celle qui est au pouvoir depuis plus de deux ans désormais chacun des partis politiques qui a eu à gouverner la Côte d’Ivoire a fait sa part d’erreurs, parfois dramatiques, qui ont conduit notre pays au chaos. Les hommes qui nous gouvernent ne peuvent pas tout faire. Ils sont loin d’ici, à plus de 200 km. Ce qu’on leur dit de Zikisso, Je veux être la voix de Zikisso, ici, mais aussi à Yamoussoukro, à Abidjan et ailleurs. Nous sommes des hommes et des femmes, des vieillards et des enfants, qui n’avons cessé de souffrir du désintérêt des autres pour ce que nous sommes.
Nous avons une terre qui est riche et nous savons la travailler. Mais regardez là où nous vivons, parfois dans le dénuement le plus complet en ce qui concerne les infrastructures économiques et sociales. Si nous restons terrés dans notre coin, nous n’obtiendrons rien. Si nous sommes rassemblés, nous pouvons exiger ce qui nous revient. Par le dialogue avec l’administration et les institutions, par le dialogue avec les décideurs politiques et les opérateurs économiques.
Je n’ai pas d’illusions. Je sais que ceux qui nous gouvernent, quelles que soient par ailleurs leurs qualités, pensent que le pouvoir c’est d’abord les affaires politiques qui se déroulent dans la capitale mais aussi les affaires économiques qui concernent, elles aussi, d’abord, la capitale. Notre capitale à nous s’appelle Zikisso. C’est ici que nous devons conduire avec fermeté nos affaires politiques et nos affaires économiques. C’est dans cette perspective que je m’engage auprès de vous, avec vous, pour que, rassemblés nous puissions, enfin, nous consacrer pleinement au développement de notre commune. Pour l’arrimer à la perceptive de l’émergence de notre chère Côte d’Ivoire préconisé par le Président de la République pour l’an 2020.
Adama Diomandé