Abidjan – La Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), faîtière d’organisations non gouvernementales, a procédé jeudi au lancement d’un projet de formation à la citoyenneté et aux droits de l’Homme au profit de ses organisations de base membres.
« La CSCI qui prônait un nouveau contrat social pour la renaissance de la Côte d’Ivoire, a décidé de contribuer à la construction d’un nouveau type de citoyen, artisan de la culture de la paix et acteur de son bien-être et du développement de son pays », a expliqué le coordonnateur national de la CSCI, Dr Kouamé Christophe, lors de la cérémonie d’ouverture.
Pour Dr Kouamé Christophe, ce projet de formation dénommé le "Jeudi de la CSCI", se tiendra un jeudi dans le mois et sera un incubateur avant son déploiement sur l’ensemble des régions du pays.
« L’objectif est de remplacer les frustrations citoyennes par une demande citoyenne qui consiste à l’endroit où se trouve le citoyen de rechercher une ONG pour déposer sa plainte en lieu et place de manifestations publiques avec pour corollaire la destruction des biens publics », a précisé le coordonnateur national de la CSCI.
Dr Kouamé a surtout rappelé que la crise ivoirienne est le résultat de l’ignorance par les Ivoiriens de leurs droits fondamentaux et de leurs devoirs. Il a dénoncé le fait que les Ivoiriens se sont engouffrés dans des logiques de violence car ils se sont enfermés dans des logiques ethniques, régionales, religieuses entretenues par des partis politiques.
Le représentant du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Lazard Dago a exprimé le soutien de son ministère à ce projet qui, a-t-il affirmé, revêt un aspect fondamental surtout pour un pays en sorite de crise. Il a espéré qu’au terme de cette formation, toute la population adhère aux questions de droits de l’Homme.
Etaient présents à cette cérémonie de lancement des représentants de l’ambassade de France, du PNUD, de l’ONUCI, de la FAO, de la Fondation Freidrich Ebert et la Fondation Freidrich Nauman qui ont tous apporté leur soutien à cette initiative de la CSCI.
(AIP)
kkf/cmas
« La CSCI qui prônait un nouveau contrat social pour la renaissance de la Côte d’Ivoire, a décidé de contribuer à la construction d’un nouveau type de citoyen, artisan de la culture de la paix et acteur de son bien-être et du développement de son pays », a expliqué le coordonnateur national de la CSCI, Dr Kouamé Christophe, lors de la cérémonie d’ouverture.
Pour Dr Kouamé Christophe, ce projet de formation dénommé le "Jeudi de la CSCI", se tiendra un jeudi dans le mois et sera un incubateur avant son déploiement sur l’ensemble des régions du pays.
« L’objectif est de remplacer les frustrations citoyennes par une demande citoyenne qui consiste à l’endroit où se trouve le citoyen de rechercher une ONG pour déposer sa plainte en lieu et place de manifestations publiques avec pour corollaire la destruction des biens publics », a précisé le coordonnateur national de la CSCI.
Dr Kouamé a surtout rappelé que la crise ivoirienne est le résultat de l’ignorance par les Ivoiriens de leurs droits fondamentaux et de leurs devoirs. Il a dénoncé le fait que les Ivoiriens se sont engouffrés dans des logiques de violence car ils se sont enfermés dans des logiques ethniques, régionales, religieuses entretenues par des partis politiques.
Le représentant du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Lazard Dago a exprimé le soutien de son ministère à ce projet qui, a-t-il affirmé, revêt un aspect fondamental surtout pour un pays en sorite de crise. Il a espéré qu’au terme de cette formation, toute la population adhère aux questions de droits de l’Homme.
Etaient présents à cette cérémonie de lancement des représentants de l’ambassade de France, du PNUD, de l’ONUCI, de la FAO, de la Fondation Freidrich Ebert et la Fondation Freidrich Nauman qui ont tous apporté leur soutien à cette initiative de la CSCI.
(AIP)
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