Divo - La section des affaires civiles de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) a organisé mardi, une rencontre de concertation entre les représentants des villages de Gnéhiri (Divo) et de M’Bazo (Didoko) en vue du règlement du différend qui oppose les populations de ces deux localités voisines.
« Nous voulons offrir un cadre de concertation aux deux communautés en conflit pour leur permettre de dialoguer et de proposer des pistes de solutions aux problèmes qui les divisent », a indiqué la responsable locale de la section des affaires civiles de l’ONUCI, Mme Tano Eba, pour justifier l’organisation de cette séance d’écoute et de dialogue inter-communautaire.
Le sous-préfet central de Divo, Lago Digbeu Mathieu qui avait à ses côtés sa collègue de Didoko, Ruth Anne-Marie Gnaléga Brou, a salué cette action de l’ONUCI qui, à travers sa section des affaires civiles, a mis tout en œuvre pour ramener la paix et la cohésion entre les populations de Gnéhiri et de M’Bazo.
Il a également exprimé la « profonde gratitude » du préfet de la région du Lôh-Djiboua et du département de Divo aux responsables de l’Institution onusienne qui « ont donné l’opportunité aux frères ennemis de Gnéhiri et de M’Bazo de se parler pour dissiper les malentendus ».
L’autorité préfectorale a, par ailleurs, invité les populations de ces deux localités à faire sienne les résolutions issues du fruit de leurs réflexions communes et à les observer « scrupuleusement » afin de renforcer la cohésion sociale. « Ce qui est sorti de vos réflexions est opposable à vous tous sans exception », a-t-il martelé.
Cette médiation de l’ONUCI intervient dans un contexte de haine farouche entre les communautés villageoises de Gnéhiri et de M’Bazo, opposées au sujet de la pêche dans la rivière Boubo. Les populations de Gnéhiri, se disant propriétaires de cette eau, interdisaient à celles de M’Bazo d’y pêcher. Ce qui naturellement n’était pas du goût de ces dernières.
(AIP)
rkk/cmas
« Nous voulons offrir un cadre de concertation aux deux communautés en conflit pour leur permettre de dialoguer et de proposer des pistes de solutions aux problèmes qui les divisent », a indiqué la responsable locale de la section des affaires civiles de l’ONUCI, Mme Tano Eba, pour justifier l’organisation de cette séance d’écoute et de dialogue inter-communautaire.
Le sous-préfet central de Divo, Lago Digbeu Mathieu qui avait à ses côtés sa collègue de Didoko, Ruth Anne-Marie Gnaléga Brou, a salué cette action de l’ONUCI qui, à travers sa section des affaires civiles, a mis tout en œuvre pour ramener la paix et la cohésion entre les populations de Gnéhiri et de M’Bazo.
Il a également exprimé la « profonde gratitude » du préfet de la région du Lôh-Djiboua et du département de Divo aux responsables de l’Institution onusienne qui « ont donné l’opportunité aux frères ennemis de Gnéhiri et de M’Bazo de se parler pour dissiper les malentendus ».
L’autorité préfectorale a, par ailleurs, invité les populations de ces deux localités à faire sienne les résolutions issues du fruit de leurs réflexions communes et à les observer « scrupuleusement » afin de renforcer la cohésion sociale. « Ce qui est sorti de vos réflexions est opposable à vous tous sans exception », a-t-il martelé.
Cette médiation de l’ONUCI intervient dans un contexte de haine farouche entre les communautés villageoises de Gnéhiri et de M’Bazo, opposées au sujet de la pêche dans la rivière Boubo. Les populations de Gnéhiri, se disant propriétaires de cette eau, interdisaient à celles de M’Bazo d’y pêcher. Ce qui naturellement n’était pas du goût de ces dernières.
(AIP)
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