Abidjan - Les examens blancs du Baccalauréat, du BEPC et du CEPE, entamés lundi sur toute l’étendue du territoire national ivoirien, connaissent des perturbations dans plusieurs localités, des enseignants ayant décidé de les boycotter.
Ces enseignants entendent ainsi protester contre la décision du gouvernement d’opérer des ponctions sur leurs salaires de mars pour fait de grève.
A Bongouanou, M’Bayakro, Daoukro, Tiassalé, Alépé, Grand-Bassam et Tengrela, pour ne citer que ces localités, les élèves qui s’étaient rendus dans les établissements, très tôt le lundi, pour prendre part aux épreuves ont été purement et simplement renvoyés chez eux.
Dans des localités comme Ferkessédougou et Touba toutefois, parcontre, les examens blancs se déroulent normalement, dans les différents centres a constaté l’AIP.
Les responsables de l’Intersyndical du secteur Education-Formation (Isef), dans un communiqué au terme d'une réunion d’urgence tenue lundi, ont marqué leur soutien à ces enseignants.
A la suite d’un mot d’ordre lancé par l’Intersyndicale du secteur Education-Formation (ISEF), les enseignants avaient observé du 04 au 08 février un arrêt de travail pour exiger le paiement intégral du rappel de l’indemnité de logement, de la seconde moitié de bonification indiciaire, des effets financiers de profils de carrières des conseillers pédagogiques et du rappel s’y afférant ainsi que le paiement de 4 milliards de la dernière tranche du rappel de CAP, rappelle-t-on.
L’Isef, se référant notamment à cette décision du gouvernement, a dénoncé par ailleurs un " autre acte inutilement provocateur qui met le feu aux poudres au moment où s’annoncent à grands pas les examens de fin d’année", et menacé d’entrer de nouveau en grève si "la question n’a pas trouvé de solution" d’ici la reprise des cours prévue pour le 08 avril.
Ces enseignants entendent ainsi protester contre la décision du gouvernement d’opérer des ponctions sur leurs salaires de mars pour fait de grève.
A Bongouanou, M’Bayakro, Daoukro, Tiassalé, Alépé, Grand-Bassam et Tengrela, pour ne citer que ces localités, les élèves qui s’étaient rendus dans les établissements, très tôt le lundi, pour prendre part aux épreuves ont été purement et simplement renvoyés chez eux.
Dans des localités comme Ferkessédougou et Touba toutefois, parcontre, les examens blancs se déroulent normalement, dans les différents centres a constaté l’AIP.
Les responsables de l’Intersyndical du secteur Education-Formation (Isef), dans un communiqué au terme d'une réunion d’urgence tenue lundi, ont marqué leur soutien à ces enseignants.
A la suite d’un mot d’ordre lancé par l’Intersyndicale du secteur Education-Formation (ISEF), les enseignants avaient observé du 04 au 08 février un arrêt de travail pour exiger le paiement intégral du rappel de l’indemnité de logement, de la seconde moitié de bonification indiciaire, des effets financiers de profils de carrières des conseillers pédagogiques et du rappel s’y afférant ainsi que le paiement de 4 milliards de la dernière tranche du rappel de CAP, rappelle-t-on.
L’Isef, se référant notamment à cette décision du gouvernement, a dénoncé par ailleurs un " autre acte inutilement provocateur qui met le feu aux poudres au moment où s’annoncent à grands pas les examens de fin d’année", et menacé d’entrer de nouveau en grève si "la question n’a pas trouvé de solution" d’ici la reprise des cours prévue pour le 08 avril.