Bouaké -La toute première école primaire publique de Djongonou, à 17 km sur l’axe Bouaké-Dabakala, construite en matériaux modernes, a été inaugurée samedi en présence du ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, Gnamien Konan, et de la conseillère spéciale du président de la République, Jeanne Peuhmond, marraine de la cérémonie.
L’école primaire de six classes, plus une maternelle, est baptisée du nom de Dominique Ouattara, première dame de Côte d’Ivoire.
Un vœu des populations des 33 villages du canton Kplékplessou dont le chef-lieu est Kahankro, pour traduire leur reconnaissance au couple présidentiel pour avoir accepté la réalisation de la première école sur les terres de la tribu Faphouè.
La cérémonie de remise des clés de l’école aux villageois a enregistré la présence des autorités traditionnelles, des élus et cadres locaux, ainsi que de celle du député de Daloa sous-préfecture, Norbert Kouamé Koffi, originaire de Djongonou, et du président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire, Nicolas Djibo, des personnalités qui ont participé au financement des travaux de construction de l’école de Djongonou.
Le député Norbert Kouamé Koffi, par ailleurs secrétaire national chargé des nouvelles adhésions au RDR, a saisi l’occasion pour rendre hommage au président Alassane Ouattara.
Il a remis des portraits du chef de l’Etat à afficher dans toutes les classes pour que les élèves se souviennent de lui comme un artisan du développement.
Réceptionnant les clés, le représentant du président de la Mutuelle de Djongonou, N’Bra Kouadio, au nom des populations sorties nombreuses pour être des témoins de l’événement, a exprimé la gratitude du canton Kplékplessou au président de la République pour sa lutte contre la pauvreté et le développement de la nation ivoirienne.
"Aujourd’hui, nous sommes heureux. Ce qui était un rêve, est devenu réalité grâce au président qui a décidé de lutter contre la pauvreté et pour le développement", a déclaré le représentant de la Mutuelle du village de Djongonou.
N’Bra Kouadio a plaidé pour la construction d’une cantine scolaire et des logements de maîtres, et demandé la création de forage pour permettre à la population d’avoir de l’eau potable, non sans ignorer l’octroi d’un groupe électrogène pour l’éclairage de l’école en attendant la connexion du village au réseau électrique.
La marraine de la cérémonie, Jeanne Peuhmond, qui s’est voulue l’avocat des populations auprès du président de la République pour que les doléances exprimées, a promis un groupe électrogène à la nouvelle école.
Créé, il y a plus de 200 ans, le village de Djongonou disposait d’une école en matériaux" rudimentaires" de trois classes, construite en 1964, et qui a dû se fermer en 1974, a-t-on appris.
(AIP)
Nam/kp
L’école primaire de six classes, plus une maternelle, est baptisée du nom de Dominique Ouattara, première dame de Côte d’Ivoire.
Un vœu des populations des 33 villages du canton Kplékplessou dont le chef-lieu est Kahankro, pour traduire leur reconnaissance au couple présidentiel pour avoir accepté la réalisation de la première école sur les terres de la tribu Faphouè.
La cérémonie de remise des clés de l’école aux villageois a enregistré la présence des autorités traditionnelles, des élus et cadres locaux, ainsi que de celle du député de Daloa sous-préfecture, Norbert Kouamé Koffi, originaire de Djongonou, et du président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire, Nicolas Djibo, des personnalités qui ont participé au financement des travaux de construction de l’école de Djongonou.
Le député Norbert Kouamé Koffi, par ailleurs secrétaire national chargé des nouvelles adhésions au RDR, a saisi l’occasion pour rendre hommage au président Alassane Ouattara.
Il a remis des portraits du chef de l’Etat à afficher dans toutes les classes pour que les élèves se souviennent de lui comme un artisan du développement.
Réceptionnant les clés, le représentant du président de la Mutuelle de Djongonou, N’Bra Kouadio, au nom des populations sorties nombreuses pour être des témoins de l’événement, a exprimé la gratitude du canton Kplékplessou au président de la République pour sa lutte contre la pauvreté et le développement de la nation ivoirienne.
"Aujourd’hui, nous sommes heureux. Ce qui était un rêve, est devenu réalité grâce au président qui a décidé de lutter contre la pauvreté et pour le développement", a déclaré le représentant de la Mutuelle du village de Djongonou.
N’Bra Kouadio a plaidé pour la construction d’une cantine scolaire et des logements de maîtres, et demandé la création de forage pour permettre à la population d’avoir de l’eau potable, non sans ignorer l’octroi d’un groupe électrogène pour l’éclairage de l’école en attendant la connexion du village au réseau électrique.
La marraine de la cérémonie, Jeanne Peuhmond, qui s’est voulue l’avocat des populations auprès du président de la République pour que les doléances exprimées, a promis un groupe électrogène à la nouvelle école.
Créé, il y a plus de 200 ans, le village de Djongonou disposait d’une école en matériaux" rudimentaires" de trois classes, construite en 1964, et qui a dû se fermer en 1974, a-t-on appris.
(AIP)
Nam/kp
