Dimbokro -La mobilisation pour la fête de la Pâques 2013 est jugée faible par des opérateurs économiques par rapport aux années antérieures, évoquant le paiement des salaires à la veille de la fête comme étant l’entrave à la mobilisation de la communauté Baoulé vers les villages d’origine.
"Dans le passé, une semaine avant la fête, les gares routières grouillaient de monde, mais cette année, nous n’avons été débordés par les voyageurs que le vendredi", a affirmé Konan Kouadio, transporteur à Dimbokro.
Paquinou est une occasion de retrouvailles pour le peuple baoulé qui met à profit cette fête chrétienne pour tenir des réunions de familles, des rencontres d’associations de développement dans les villages d’origine, souligne-t-on.
"Je connais beaucoup de nos parents qui attendaient les virements pour se rendre au village. Mais malheureusement, ils ont été virés le vendredi. Ils n’ont pu faire le déplacement, faute de moyens", soutient Koffi André, ressortissant de Dimbokro à Abidjan.
Néanmoins, samedi, les gares routières grouillaient de monde et les taxis étaient rares dans la ville. Les villages d’Ahua, Bocabo, Koiffi- Ahoussoukro, Ahougnanssou et autres connaissaient une animation particulière à cause des fils et filles retournés pour faire la fête avec leurs parents, note-t-on.
(AIP)
SS/kp
"Dans le passé, une semaine avant la fête, les gares routières grouillaient de monde, mais cette année, nous n’avons été débordés par les voyageurs que le vendredi", a affirmé Konan Kouadio, transporteur à Dimbokro.
Paquinou est une occasion de retrouvailles pour le peuple baoulé qui met à profit cette fête chrétienne pour tenir des réunions de familles, des rencontres d’associations de développement dans les villages d’origine, souligne-t-on.
"Je connais beaucoup de nos parents qui attendaient les virements pour se rendre au village. Mais malheureusement, ils ont été virés le vendredi. Ils n’ont pu faire le déplacement, faute de moyens", soutient Koffi André, ressortissant de Dimbokro à Abidjan.
Néanmoins, samedi, les gares routières grouillaient de monde et les taxis étaient rares dans la ville. Les villages d’Ahua, Bocabo, Koiffi- Ahoussoukro, Ahougnanssou et autres connaissaient une animation particulière à cause des fils et filles retournés pour faire la fête avec leurs parents, note-t-on.
(AIP)
SS/kp