Daloa, Près de 40 femmes issues des différentes communautés de la Côte d’Ivoire et résidant à Daloa ont été instruites samedi sur la cohésion sociale et sur l’importance de l’unité nationale aux fins d’une plus grande implication dans le processus de réconciliation nationale.
Invitées à échanger autour du thème "Cohésion sociale et réconciliation", dans le cadre du projet "J’aime mon pays" financé par l’USAID et exécuté par Search for common ground (SFCG), ces femmes ont été exhortées à faire avancer la réconciliation par des actions concrètes notamment de solidarité et de paix dans leur environnement immédiat.
Pour ce faire, elles ont été enseignées par Mme Tohibo Stéphanie, chef du bureau SFCG de Daloa, sur les notions de cohésion sociale et de réconciliation, à savoir entretenir de bonnes relations avec les autres membres pour contribuer à l’équilibre de la communauté ou de la société en respectant les trois principes que sont l’égalité, la solidarité et l’unité.
S’agissant de la réconciliation qui consiste au rétablissement des relations entre des personnes en colère, elle passe nécessairement, selon Mme Tohibo, par des éléments clés que sont la vérité, la repentance, le pardon, la justice et la paix, indispensables à sa réussite.
Elle a fait comprendre à ses hôtes du jour que la réconciliation est un point important de la cohésion sociale.
Selon Mme Tohibo, sans réconciliation, il ne saurait avoir de cohésion sociale.
C’est pourquoi, la conférencière a insisté sur le fait que la réconciliation est un long processus qui demande l’adhésion et la contribution de tous, particulièrement des femmes, pour aboutir.
Pour resserrer les liens fraternels existants entre les communautés, des mets confectionnés sur place par des participantes ont été partagés au terme de cette journée de solidarité.
(AIP)
YY/kp
Invitées à échanger autour du thème "Cohésion sociale et réconciliation", dans le cadre du projet "J’aime mon pays" financé par l’USAID et exécuté par Search for common ground (SFCG), ces femmes ont été exhortées à faire avancer la réconciliation par des actions concrètes notamment de solidarité et de paix dans leur environnement immédiat.
Pour ce faire, elles ont été enseignées par Mme Tohibo Stéphanie, chef du bureau SFCG de Daloa, sur les notions de cohésion sociale et de réconciliation, à savoir entretenir de bonnes relations avec les autres membres pour contribuer à l’équilibre de la communauté ou de la société en respectant les trois principes que sont l’égalité, la solidarité et l’unité.
S’agissant de la réconciliation qui consiste au rétablissement des relations entre des personnes en colère, elle passe nécessairement, selon Mme Tohibo, par des éléments clés que sont la vérité, la repentance, le pardon, la justice et la paix, indispensables à sa réussite.
Elle a fait comprendre à ses hôtes du jour que la réconciliation est un point important de la cohésion sociale.
Selon Mme Tohibo, sans réconciliation, il ne saurait avoir de cohésion sociale.
C’est pourquoi, la conférencière a insisté sur le fait que la réconciliation est un long processus qui demande l’adhésion et la contribution de tous, particulièrement des femmes, pour aboutir.
Pour resserrer les liens fraternels existants entre les communautés, des mets confectionnés sur place par des participantes ont été partagés au terme de cette journée de solidarité.
(AIP)
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