Le stade municipal de la ville d’Adiaké était pris d’assaut par une foule nombreuse le lundi 1er avril 2013. Et pour cause, le doyen Bléoué Aka, grand planteur de son état, y a officiellement présenté la candidature de M. Sié Hien, DG du Port autonome d’Abidjan aux prochaines élections municipales. C’était en présence de plusieurs personnalités dont le général Palenfo.
Il est Lobi d’origine, né en 1964 à Adiaké où il a fait toutes ses études primaires et secondaires. Sié Hien est un fils d’Adiaké, un Ehoutilié (peuple sorti de l’eau en langue agni). C’est en substance ce qu’a dit Koffi Marc Antoine, porte-parole des cadres de la région. Il a reconnu que leur ville a produit de nombreux cadres, malheureusement cet avantage n’a pas toujours eu d’impact sur le développement de leur commune. La raison imputable à un manque de solidarité entre cadres, un manque d’intérêt pour la chose publique et à des initiatives individuelles qui ont n’ont généralement pas prospéré. Et d’assurer que la candidature de Sié Hien a été le catalyseur d’une prise de conscience collective. «Par son humilité, son leadership, son action discrète mais efficace, il a su tisser la cohésion autour de l’urgence de s’unir pour cultiver le développement», a conclu le porte-parole des cadres.
Bléoué Aka appelle à soutenir Sié Hien
C’est le doyen Bléoué Aka qui a présenté le candidat du RDR aux populations d’Adiaké. Le doyen a souligné que c’est une chance pour cette ville qui, en une décennie, a vu deux (2) DG du PAA sortir de sa terre. Avant Sié Hien, Allah Abouadjé, fils d’Adiaké a en effet présidé aux destinés de cet important outil économique en 2000. Il a exhorté les populations à l’aider en le soutenant de façon inconditionnelle. En retour, il a demandé au candidat de renvoyer l’ascenseur aux fils et filles de la région une fois élu.
La candidature de la reconnaissance
Quant au candidat Sié Hien, il a rappelé ses origines modestes, avec un père ouvrier agricole qui a émigré en 1943 à Adiaké. «Ce que je suis devenu, je le dois à cette ville et mon affection à Adiaké ne se marchande pas. Il se vit tous les jours», a souligné le candidat. Celui-ci a indiqué que c’était un privilège d’être de cette ville car, elle dispose de tant d’atouts. «Un plan d’eau lagunaire à nul autre pareil, un climat propice à toutes les cultures. Mais, sa plus grande richesse, c’est sa population, une population ouverte qui a permis ce brassage que nous voyons», a-t-il magnifié. Sié Hien assure ressentir une reconnaissance éternelle à Adiaké à qui, il aimerait rendre tout ce que cette ville lui a donné. «Je suis candidat par devoir, par reconnaissance et j’ai besoin de l’onction de tous», a-t-il lancé. Selon lui, la décentralisation, telle pensée par le Président Alassane Ouattara, veut apporter le développement au plus près des populations. A ce niveau, il a reconnu que les besoins en infrastructures, pour l’éducation, la santé et l’emploi, sont nombreux. C’est pourquoi, il indique s’être entouré d’une équipe compétente venant d’horizons divers afin de réaliser la vision commune «d’une économie dynamique dans un cadre de vie attrayant». Et pour cela, il invite au dépassement des clichés d’appartenance politique et régionale. «On n’a pas besoin d’être PDCI, RDR, FPI, Dioula ou Agni pour ressentir le besoin de développement», a-t-il conclu.
Olivier Guédé, envoyé spécial
Il est Lobi d’origine, né en 1964 à Adiaké où il a fait toutes ses études primaires et secondaires. Sié Hien est un fils d’Adiaké, un Ehoutilié (peuple sorti de l’eau en langue agni). C’est en substance ce qu’a dit Koffi Marc Antoine, porte-parole des cadres de la région. Il a reconnu que leur ville a produit de nombreux cadres, malheureusement cet avantage n’a pas toujours eu d’impact sur le développement de leur commune. La raison imputable à un manque de solidarité entre cadres, un manque d’intérêt pour la chose publique et à des initiatives individuelles qui ont n’ont généralement pas prospéré. Et d’assurer que la candidature de Sié Hien a été le catalyseur d’une prise de conscience collective. «Par son humilité, son leadership, son action discrète mais efficace, il a su tisser la cohésion autour de l’urgence de s’unir pour cultiver le développement», a conclu le porte-parole des cadres.
Bléoué Aka appelle à soutenir Sié Hien
C’est le doyen Bléoué Aka qui a présenté le candidat du RDR aux populations d’Adiaké. Le doyen a souligné que c’est une chance pour cette ville qui, en une décennie, a vu deux (2) DG du PAA sortir de sa terre. Avant Sié Hien, Allah Abouadjé, fils d’Adiaké a en effet présidé aux destinés de cet important outil économique en 2000. Il a exhorté les populations à l’aider en le soutenant de façon inconditionnelle. En retour, il a demandé au candidat de renvoyer l’ascenseur aux fils et filles de la région une fois élu.
La candidature de la reconnaissance
Quant au candidat Sié Hien, il a rappelé ses origines modestes, avec un père ouvrier agricole qui a émigré en 1943 à Adiaké. «Ce que je suis devenu, je le dois à cette ville et mon affection à Adiaké ne se marchande pas. Il se vit tous les jours», a souligné le candidat. Celui-ci a indiqué que c’était un privilège d’être de cette ville car, elle dispose de tant d’atouts. «Un plan d’eau lagunaire à nul autre pareil, un climat propice à toutes les cultures. Mais, sa plus grande richesse, c’est sa population, une population ouverte qui a permis ce brassage que nous voyons», a-t-il magnifié. Sié Hien assure ressentir une reconnaissance éternelle à Adiaké à qui, il aimerait rendre tout ce que cette ville lui a donné. «Je suis candidat par devoir, par reconnaissance et j’ai besoin de l’onction de tous», a-t-il lancé. Selon lui, la décentralisation, telle pensée par le Président Alassane Ouattara, veut apporter le développement au plus près des populations. A ce niveau, il a reconnu que les besoins en infrastructures, pour l’éducation, la santé et l’emploi, sont nombreux. C’est pourquoi, il indique s’être entouré d’une équipe compétente venant d’horizons divers afin de réaliser la vision commune «d’une économie dynamique dans un cadre de vie attrayant». Et pour cela, il invite au dépassement des clichés d’appartenance politique et régionale. «On n’a pas besoin d’être PDCI, RDR, FPI, Dioula ou Agni pour ressentir le besoin de développement», a-t-il conclu.
Olivier Guédé, envoyé spécial