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Société Publié le jeudi 4 avril 2013 | Soir Info

Succession : Voici les trois sortes de testament

© Soir Info Par Nathan Kone
Législatives : La plate-forme des femmes pour gagner (PFG) lance une campagne pour soutenir financièrement les candidates
Mercredi 19 octobre 2011. Abidjan. L’organisation non gouvernementale "Plate-forme des femmes pour gagner" (PFG) dirigée par Me Christiane Bitty-Kouyaté, lance une campagne intitulée ‘’Soutenir financièrement les candidatures féminines aux législatives 2011 : c’est contribuer au développement’’
Les procédures de partage, en cas de succession, ont été expliquées aux femmes, à l’occasion d’une conférence-formation organisée par la plate forme des femmes pour gagner (Pfg). C’était le samedi 23 mars 2013, au siège de ladite organisation a Treichville. Comment se déroule le règlement d’une succession ? Qui hérite ? Qui doit y participer ? Ce sont entre autres, des interrogations qui ont trouvé réponse, à travers le thème : “Les successions”. La présidente de la Pfg, Maitre Christiane Bitty-Kouyaté a instruit l’assistance. Elle a révélé que les enfants étaient prioritaires dans la succession. Ils reçoivent, à part égale, l’héritage. Pour elle, en cas de décès du conjoint, la femme a droit a la moitié et les enfants, à l’autre part des biens du défunt. La conférencière a expliqué qu’il existe 3 sortes de testaments : autographe, authentique et mystique. Ils sont différents en ce sens que, le premier est écrit par le concerné lui-même, le second est redigé en présence du notaire et le troisième, par le defunt et decouvert par les ayants droit le jour du partage. Elle a dit que le testament n’est pas obligatoire mais, il met les héritiers à l’abri. Selon Me Bitty-Kouyaté, un enfant peut- être déclaré indigne par son geniteur et ne pas avoir accès à l’heritage, si le juge le decide. Poursuivant dans le même ordre d’idée, elle a souligné que celui-ci peut y renoncer. La juriste a conseille de declarer tous les biens pour faciliter le partage. Les ascedants (père et mère), les collateraux ( frères et sœurs) , et le conjoint survivant, bénéficient de la succession, s’il n’y a pas eu d’enfant dans le mariage. En outre, les petits-enfants n’y ont pas droit, mais representent leurs parents défunts lors du partage.

Héloïse YAPI-EDI
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