Bouaflé – Le candidat officiel du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Dr Lehié Bi Kribou Lucien a été investi mercredi en présence des autorités politiques et de nombreux militants.
M. Lehié Bi a indiqué que la commune de Bouaflé est malade et souffre énormément. Il a toutefois remercié les militants de son parti pour l’avoir choisi, lui, un médecin chirurgien de santé publique, afin d’apporter la guérison à la ville.
« Là où un chirurgien passe, vous voyez toujours des traces », a-t-il fait savoir, faisant allusion à l’ancien maire, le professeur en médecine, Cowpli Bony, à l’origine de la construction de nombreuses infrastructures dans la commune.
Lehié Bi a appelé la commune à se réveiller et à se développer à l’image de la capitale politique, Yamoussoukro, située à 50 km de Bouaflé. C’est pourquoi, il a promis que le centre de santé de Garango (4 km de Bouaflé) ouvrira ses portes avant les élections municipales du 21 avril.
« C’est dommage de constater que notre cité manque d’eau d’électricité et de voirie dans certains endroits ce qui obligent les femmes enceintes à monter sur des motos pour aller accoucher. C’est inacceptable », a-t-il regretté, indiquant que Bouaflé est doté de richesses culturelles, ethniques, économiques qui peuvent permettre son développement.
« Faites moi confiance et donnez moi seulement cinq ans, car le rôle du médecin est de combattre la souffrance et ensemble, nous allons développer la cité », a-t-il conclu.
Lehié Bi Lucien est en lice avec six autres candidats dont quatre indépendants.
(AIP)
zaar/cmas
M. Lehié Bi a indiqué que la commune de Bouaflé est malade et souffre énormément. Il a toutefois remercié les militants de son parti pour l’avoir choisi, lui, un médecin chirurgien de santé publique, afin d’apporter la guérison à la ville.
« Là où un chirurgien passe, vous voyez toujours des traces », a-t-il fait savoir, faisant allusion à l’ancien maire, le professeur en médecine, Cowpli Bony, à l’origine de la construction de nombreuses infrastructures dans la commune.
Lehié Bi a appelé la commune à se réveiller et à se développer à l’image de la capitale politique, Yamoussoukro, située à 50 km de Bouaflé. C’est pourquoi, il a promis que le centre de santé de Garango (4 km de Bouaflé) ouvrira ses portes avant les élections municipales du 21 avril.
« C’est dommage de constater que notre cité manque d’eau d’électricité et de voirie dans certains endroits ce qui obligent les femmes enceintes à monter sur des motos pour aller accoucher. C’est inacceptable », a-t-il regretté, indiquant que Bouaflé est doté de richesses culturelles, ethniques, économiques qui peuvent permettre son développement.
« Faites moi confiance et donnez moi seulement cinq ans, car le rôle du médecin est de combattre la souffrance et ensemble, nous allons développer la cité », a-t-il conclu.
Lehié Bi Lucien est en lice avec six autres candidats dont quatre indépendants.
(AIP)
zaar/cmas
