Deux ans de liberté, deux ans de travail acharné, deux ans que le pays a retrouvé sa place dans le concert des nations, la Côte d’Ivoire est désormais sur les rails de la démocratie et surtout du développement et de la prospérité et se porte mieux. En effet, il y a deux ans que le dictateur, Laurent Gbagbo, aujourd’hui écroué à la cour pénal internationale pour les crimes commis sous son magistère, quittait le pouvoir. Faisant du 11 avril 2011, une date mémorable et historique pour tous les démocrates ivoiriens. Qui en Côte d’Ivoire ne se souvient pas de cette crise postélectorale née de la volonté avérée des anciens dirigeants de la Côte d’Ivoire à s’accrocher au pouvoir d’Etat en dépit du refus exprimé clairement dans les urnes par le peuple ivoirien? Alors que tous attendait d’eux une reconnaissance de leur lourde défaite électorale, les refondateur ont voulu ‘’écraser’’ le peuple et sa volonté pour garder les commandes de l’Etat. En face du vainqueur de la compétition électorale, Alassane Ouattara et ses partisans, le dictateur, Laurent Gbagbo a mis en marche sa machine à tuer. Durant 4 mois, la terreur s’est abattue sur le peuple dans son ensemble. Tueries, massacres, vols, viols et pillages, la soldatesque du champion des frontistes appuyée par les miliciens et mercenaires recrutés pour opérer le forcing, a été sans pitié pour les opposants d’alors. 3000 personnes officiellement ont perdu la vie dans cette bataille féroce entre le peuple ivoirien, déterminé à faire respecter son choix et l’ancien pourvoir tout aussi engagé à réaliser son hold-up électoral. L’enfer a duré 4 mois. Et le 11 avril 2011, ‘’le boucher’’ des lagunes qui a tiré des obus sur les femmes d’Abobo manifestant aux mains nues, qui a fait pleuvoir des pluies de bombes sur des marchés de la commune d’Abobo et a fait bruler vif des personnes dans les rues de Yopougon a été capturé par les FRCI dans son bunker. La guerre de la libération de la Côte d’Ivoire des griffes d’une refondation atroce, violente et dictatoriale qui a régné dans le sang du peuple connaissait ainsi son épilogue. Laurent Gbagbo capturé et puis poursuivi par la cour pénale internationale, la Côte d’Ivoire a retrouvé son souffle. Désormais sous la gouvernance du président de la République, Alassane Ouattara, elle rayonne à nouveau. La Côte d’Ivoire d’union, de la discipline dans la gestion des affaires, la Côte d’Ivoire de travail, respectée à travers le monde entier portée pendant des décennies par le premier président, Félix Houphouët Boigny est de retour. Infatigable sur le front du développement et du bien-être de ses compatriotes, le chef de l’Etat ne ménage pas ses efforts pour attirer les investisseurs du monde entier dans son pays. La Côte d’Ivoire crainte par les milieux d’affaires est redevenue fréquentable et les hommes d’affaires se bousculent pour faire prospérer leurs affaires sur les bords de la lagune ébrié. En véritable homme d’Etat et surtout en brillant travailleur, le premier citoyen ivoirien a remis la Côte d’Ivoire et les ivoiriens au travail. Le changement promis au peuple est en bonne voie de réalisation avec de nombreux projets de développement ouverts. Le temps de l’émergence à l’horizon 2020 a sonné et le peuple poursuit sa marche glorieuse et triomphale.
Lacina Ouattara
Lacina Ouattara