Abidjan - Le ministère d’Etat, ministère du Plan et du Développement organise, depuis mardi à Abidjan, un atelier destiné à élaborer une stratégie de lutte contre la traite des êtres humains et autres pratiques assimilées.
Cet atelier, initié avec l’appui technique et financier conjoint de la Migration UE expertise (MIEUX) et l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), vise à identifier les besoins et les défis dans le domaine de la traite des êtres humains, en vue d’appuyer le processus de rédaction d’une stratégie nationale nouvelle de lutte contre ce fléau.
La décision de mise en place d’un cadre stratégique de lutte contre la traite en Côte d’Ivoire fait suite à une mission d’évaluation en septembre 2012 de la MIEUX, explique-t-on.
Le protocole de Palerme relatif à la traite des êtres humains a été ratifié par l’Etat de Côte d’Ivoire, rappelle le directeur général du Développement des capacités nationales, Dr GondoYaké, qui note cependant que des difficultés d’identification des victimes de la traite et de réponses appropriées à ce phénomène subsistent toujours.
La rencontre d’Abidjan qui dure quatre jours, va permettre de présenter les conclusions du rapport d’évaluation, d’analyser les défis en matière de lutte contre la traite et de proposer la création de sous-groupes thématiques chargés de la préparation de la stratégie nationale et d’un plan de travail avec le soutien conjoint de l’UE et de l’ONUDC, indique-t-on.
Cet atelier, initié avec l’appui technique et financier conjoint de la Migration UE expertise (MIEUX) et l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), vise à identifier les besoins et les défis dans le domaine de la traite des êtres humains, en vue d’appuyer le processus de rédaction d’une stratégie nationale nouvelle de lutte contre ce fléau.
La décision de mise en place d’un cadre stratégique de lutte contre la traite en Côte d’Ivoire fait suite à une mission d’évaluation en septembre 2012 de la MIEUX, explique-t-on.
Le protocole de Palerme relatif à la traite des êtres humains a été ratifié par l’Etat de Côte d’Ivoire, rappelle le directeur général du Développement des capacités nationales, Dr GondoYaké, qui note cependant que des difficultés d’identification des victimes de la traite et de réponses appropriées à ce phénomène subsistent toujours.
La rencontre d’Abidjan qui dure quatre jours, va permettre de présenter les conclusions du rapport d’évaluation, d’analyser les défis en matière de lutte contre la traite et de proposer la création de sous-groupes thématiques chargés de la préparation de la stratégie nationale et d’un plan de travail avec le soutien conjoint de l’UE et de l’ONUDC, indique-t-on.