Daloa – Des centaines d’élèves des lycées et collèges de Daloa ont manifesté pacifiquement, mercredi, contre la paralysie de l’école, due à l’actuelle grève des enseignants jugée de trop par les protestataires.
Ces élèves qui ont été reçus à leur demande par la directrice régionale de l'éducation nationale, Mme N’goran Akoua, ont tenu à exprimer leur exaspération face aux incessantes perturbations des cours liées au mécontentement et à l’absence des enseignants, ayant subi une ponction sur le salaire du mois de février pour fait de grève.
En effet, outre le préscolaire primaire complètement paralysé, les cours sont plombés aussi bien dans les établissements secondaires publics que privés. Parce que des éléments incontrôlés parviennent chaque fois à les perturber à coups de sifflet et de cailloux, avec la complicité, dit-on, de certains élèves qui ont pris à leur compte la grève des enseignants.
Les représentants des élèves qui militent en faveur de la reprise rapide des cours, aux fins d’éviter une année blanche ou bâclée pour non achèvement des programmes, souhaitent donc que la sécurité soit renforcée au niveau des établissements pour la reprise effective des cours. Ils demandent également que les discussions entre le gouvernement et les grévistes se poursuivent et permettent d’entrevoir des lendemains meilleurs pour la survie de l’école ivoirienne.
Après avoir pris acte des préoccupations des élèves, Mme N'goran et ses proches collaborateurs se sont félicités de la démarche pacifique des apprenants, en promettant de faire ce qui est en leur pouvoir pour que l’école reprenne ses droits dans le Haut-Sassandra et particulièrement à Daloa. Car les 16 établissements secondaires du public et les 45 du privé ne fonctionnent que partiellement du fait de cette énième grève du secteur éducation-formation.
Ces élèves qui ont été reçus à leur demande par la directrice régionale de l'éducation nationale, Mme N’goran Akoua, ont tenu à exprimer leur exaspération face aux incessantes perturbations des cours liées au mécontentement et à l’absence des enseignants, ayant subi une ponction sur le salaire du mois de février pour fait de grève.
En effet, outre le préscolaire primaire complètement paralysé, les cours sont plombés aussi bien dans les établissements secondaires publics que privés. Parce que des éléments incontrôlés parviennent chaque fois à les perturber à coups de sifflet et de cailloux, avec la complicité, dit-on, de certains élèves qui ont pris à leur compte la grève des enseignants.
Les représentants des élèves qui militent en faveur de la reprise rapide des cours, aux fins d’éviter une année blanche ou bâclée pour non achèvement des programmes, souhaitent donc que la sécurité soit renforcée au niveau des établissements pour la reprise effective des cours. Ils demandent également que les discussions entre le gouvernement et les grévistes se poursuivent et permettent d’entrevoir des lendemains meilleurs pour la survie de l’école ivoirienne.
Après avoir pris acte des préoccupations des élèves, Mme N'goran et ses proches collaborateurs se sont félicités de la démarche pacifique des apprenants, en promettant de faire ce qui est en leur pouvoir pour que l’école reprenne ses droits dans le Haut-Sassandra et particulièrement à Daloa. Car les 16 établissements secondaires du public et les 45 du privé ne fonctionnent que partiellement du fait de cette énième grève du secteur éducation-formation.