APA-Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Front populaire ivoirien (FPI), a réaffirmé jeudi à l’occasion de la célébration du deuxième anniversaire de l’arrestation de l’ex Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo que son mentor a été ‘’victime d’un complot conçu et planifié de longue date’’.
‘'La déportation du Président Laurent Gbagbo, de Korhogo à la Haye, n'est rien moins que l'exécution d'un complot conçu et planifié de longue date'', soutient le FPI, le parti de Laurent Gbagbo, dans une déclaration signée du secrétaire général par intérim, Dr Richard Kodjo, par ailleurs porte-parole de ce parti.
Pour lui, les motifs de cette déportation de son ‘'champion'' ne sont en réalité que l'accomplissement par la ‘'CPI de sa part de mission dans la logique du Gbagbo doit partir du pouvoir par tous les moyens''.
‘'Il (Laurent Gbagbo) a accompli son devoir, celui de la quête et l'éclatement de la vérité et de la justice en toute circonstance, en vertu des exigences démocratiques'', conclut Dr Richard Kodjo, l'ex ambassadeur de la Côte d'Ivoire au Burkina Faso.
M. Gbagbo a été arrêté le 11 avril 2011 après deux semaines de guerre fratricide à Abidjan entre ses soldats et ceux soutenant son rival, Alassane Ouattara.
Depuis le 29 novembre 2011, il est détenu à la Cour pénale internationale (CPI) à la Haye, après quelques mois passés à Korhogo dans l'extrême Nord du pays.
Il a déjà comparu par deux fois devant cette Cour qui doit donner dans les prochaines semaines le verdict du procès de confirmation des charges, organisé en février dernier.
La crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts de décembre 2010 à avril 2011 est née du refus de M. Gbagbo de reconnaitre la victoire de son adversaire, Alassane Ouattara à l'issue du second tour de la présidentielle du 29 novembre 2010.
‘'La déportation du Président Laurent Gbagbo, de Korhogo à la Haye, n'est rien moins que l'exécution d'un complot conçu et planifié de longue date'', soutient le FPI, le parti de Laurent Gbagbo, dans une déclaration signée du secrétaire général par intérim, Dr Richard Kodjo, par ailleurs porte-parole de ce parti.
Pour lui, les motifs de cette déportation de son ‘'champion'' ne sont en réalité que l'accomplissement par la ‘'CPI de sa part de mission dans la logique du Gbagbo doit partir du pouvoir par tous les moyens''.
‘'Il (Laurent Gbagbo) a accompli son devoir, celui de la quête et l'éclatement de la vérité et de la justice en toute circonstance, en vertu des exigences démocratiques'', conclut Dr Richard Kodjo, l'ex ambassadeur de la Côte d'Ivoire au Burkina Faso.
M. Gbagbo a été arrêté le 11 avril 2011 après deux semaines de guerre fratricide à Abidjan entre ses soldats et ceux soutenant son rival, Alassane Ouattara.
Depuis le 29 novembre 2011, il est détenu à la Cour pénale internationale (CPI) à la Haye, après quelques mois passés à Korhogo dans l'extrême Nord du pays.
Il a déjà comparu par deux fois devant cette Cour qui doit donner dans les prochaines semaines le verdict du procès de confirmation des charges, organisé en février dernier.
La crise postélectorale qui a fait plus de 3000 morts de décembre 2010 à avril 2011 est née du refus de M. Gbagbo de reconnaitre la victoire de son adversaire, Alassane Ouattara à l'issue du second tour de la présidentielle du 29 novembre 2010.