Deux ans après l’arrestation de son leader, Laurent Gbagbo, transféré le 30 novembre 2011 à la Cour pénale internationale, à La Haye, le Front populaire ivoirien, à la manière d’Amnesty International, « fait le point » sur la situation des détenus en Côte d’Ivoire.
Les Ivoiriens ont été abreuvés ces derniers mois de rapports extrêmement critiques sur la situation des droits de l’homme dans leur pays. Après Amnesty International (le 26 février 2013), la Ligue ivoirienne des Droits de l’homme (le 3 avril) et Human Rights Watch (le 4 avril), c’est étonnamment au tour du Front populaire ivoirien (FPI), la formation politique de l’ancien président Laurent Gbagbo, de se muer en ONG, histoire de « faire le point » sur la situation des détenus, deux ans... suite de l'article sur RFI
Les Ivoiriens ont été abreuvés ces derniers mois de rapports extrêmement critiques sur la situation des droits de l’homme dans leur pays. Après Amnesty International (le 26 février 2013), la Ligue ivoirienne des Droits de l’homme (le 3 avril) et Human Rights Watch (le 4 avril), c’est étonnamment au tour du Front populaire ivoirien (FPI), la formation politique de l’ancien président Laurent Gbagbo, de se muer en ONG, histoire de « faire le point » sur la situation des détenus, deux ans... suite de l'article sur RFI