Ouagadougou - Le gouvernement burkinabè a lancé lundi, une série de concertations en vue d’élaborer d’ici septembre 2013, un projet de loi sur l’assurance maladie universelle et sur le développement des mutuelles sociales au Burkina Faso.
Des concertations régionales et sectorielles ouvertes ce matin par le Premier ministre Luc Adolphe Tiao, vont permettre de préparer un projet de loi ouvrant l’assurance maladie au plus grand nombre possible de Burkinabè et encourageant le développement des mutuelles de santé.
Le chef du gouvernement s’est dit engagé à « explorer toutes les voies audacieuses et réalistes pour une généralisation des mutuelles de santé afin d’étendre l’assurance maladie aux populations des secteurs informel et rural ».
La représentante résidente de l’OMS au Burkina, Dr Djamila Cabral a exprimé la disponibilité des partenaires techniques et financiers à soutenir le Burkina Faso dans ce projet.
Elle a rappelé au gouvernement le besoin de poursuivre ses efforts pour doter le pays d’infrastructures sanitaires « solides » où l’on offre des « soins de qualité » pour la prévention, le diagnostic, le traitement et la réadaptation.
Elle s’est aussi inquiétée du pouvoir d’achat de la masse populaire et a souhaité que les concertations en tiennent compte, « pour rendre les soins financièrement accessibles » aux populations défavorisées.
Les concertations vont se poursuivre jusqu’au 15 juin prochain et impliquera des autorités locales, des groupes d’acteurs sectoriels et les différentes couches sociales.
Plus de 90% de burkinabè ne sont pas couverts par les systèmes formels de sécurité sociale, selon les chiffres du gouvernement.
TAA/AMK
AIP/AIB
Des concertations régionales et sectorielles ouvertes ce matin par le Premier ministre Luc Adolphe Tiao, vont permettre de préparer un projet de loi ouvrant l’assurance maladie au plus grand nombre possible de Burkinabè et encourageant le développement des mutuelles de santé.
Le chef du gouvernement s’est dit engagé à « explorer toutes les voies audacieuses et réalistes pour une généralisation des mutuelles de santé afin d’étendre l’assurance maladie aux populations des secteurs informel et rural ».
La représentante résidente de l’OMS au Burkina, Dr Djamila Cabral a exprimé la disponibilité des partenaires techniques et financiers à soutenir le Burkina Faso dans ce projet.
Elle a rappelé au gouvernement le besoin de poursuivre ses efforts pour doter le pays d’infrastructures sanitaires « solides » où l’on offre des « soins de qualité » pour la prévention, le diagnostic, le traitement et la réadaptation.
Elle s’est aussi inquiétée du pouvoir d’achat de la masse populaire et a souhaité que les concertations en tiennent compte, « pour rendre les soins financièrement accessibles » aux populations défavorisées.
Les concertations vont se poursuivre jusqu’au 15 juin prochain et impliquera des autorités locales, des groupes d’acteurs sectoriels et les différentes couches sociales.
Plus de 90% de burkinabè ne sont pas couverts par les systèmes formels de sécurité sociale, selon les chiffres du gouvernement.
TAA/AMK
AIP/AIB