Un violent affrontement entre élèves et agents de police à Bouaflé (centre-ouest) a fait au moins 10 blessés dont trois policiers, ont indiqué mardi des témoins à Xinhua.
A en croire ceux-ci, des échauffourées ont éclaté entre ces deux groupes après que des élèves par groupes eurent décidé d’aller empêcher la tenue de d’un examen scolaire, en raison de la grève déclenchée par les enseignants et en vigueur depuis plusieurs jours.
Pour éviter des débordements et surtout des bagarres entre élèves partisans de l’examen et les perturbateurs, un détachement de policiers s’est promptement interposé.
Mais les élèves perturbateurs se sont opposé aux forces de l’ordre et un affrontement s’en est suivi. Face au nombre d’élèves qui grossissait, les policiers ont reçu du renfort de la gendarmerie.
L’arrestation d’un élève considéré comme meneur a mis le feu aux poudres, et l’affrontement a gagné en intensité, occasionnant des blessés de part et d’autre. L’élève a été finalement mis en liberté, dans le souci de faire baisser la tension.
Les autorités administratives et sécuritaires de la région ont lancé un appel au calme, dans un contexte déjà tendu en raison de la campagne électorale.
A en croire ceux-ci, des échauffourées ont éclaté entre ces deux groupes après que des élèves par groupes eurent décidé d’aller empêcher la tenue de d’un examen scolaire, en raison de la grève déclenchée par les enseignants et en vigueur depuis plusieurs jours.
Pour éviter des débordements et surtout des bagarres entre élèves partisans de l’examen et les perturbateurs, un détachement de policiers s’est promptement interposé.
Mais les élèves perturbateurs se sont opposé aux forces de l’ordre et un affrontement s’en est suivi. Face au nombre d’élèves qui grossissait, les policiers ont reçu du renfort de la gendarmerie.
L’arrestation d’un élève considéré comme meneur a mis le feu aux poudres, et l’affrontement a gagné en intensité, occasionnant des blessés de part et d’autre. L’élève a été finalement mis en liberté, dans le souci de faire baisser la tension.
Les autorités administratives et sécuritaires de la région ont lancé un appel au calme, dans un contexte déjà tendu en raison de la campagne électorale.