Tête de la liste Atououuu aux élections municipales à Yopougon, le candidat Coulibaly Daouda dit Zié s’est ouvert à nous à travers un entretien dans lequel il croit dur comme fer à sa victoire le 21 avril prochain. Il est donc revenu sur les atouts qui militeraient en sa faveur dans le sens de son élection.
A quelques jours de la fin de la campagne, quel bilan faites-vous de votre présence sur le terrain ?
Je voudrais vous dire que nous sommes effectivement présents sur le terrain à Yopougon, aux côtés de nos populations. Le bilan est positif. Nous avons fait une très bonne campagne. Nous avons opté pour une campagne de proximité et pour des contrats de confiance. Je vous informe que nous avons signé des engagements avec plusieurs groupes socioprofessionnels qui ont vu en nous le sérieux et la volonté du respect de ses engagements. Car il n’y a pas assez de candidats qui ont le courage de prendre des engagements écrits avec les populations. Nous, nous le faisons parce que nous savons que nous faisons toujours ce que nous disons et nous disons ce que nous pouvons faire. Et cette qualité, les populations l’ont si bien comprise.
Est-ce que ces atouts sont suffisants pour briquer la magistrature suprême de la commune de Yopougon ?
Mais Bien sûr. Je connais Yopougon. Et Yopougon me connaît. Ma popularité est indiscutable dans cette commune. Les jeunes et les femmes m’ont baptisé le maire « choco ». Je suis au “coï“ avec les jeunes chaque jour. J’ai grandi à Yopougon. Donc cette commune et moi avons une histoire que rien ni personne ne pourra jamais effacer. Et puis, mon élection viendra montrer que Yopougon n’est plus une cité de violence. Car, je suis un acteur de réconciliation. Yopougon qui a toujours été le théâtre des affrontements va retrouver la gaîté. Et aujourd’hui, parmi tous les candidats à Yopougon, je suis le seul qui pourra concilier toutes les tendances. C’est pourquoi je m’engage à redorer le blason de cette commune après mon élection.
Quel est le message fort que vous voulez que les populations de Yopougon retiennent de la campagne qui tire à sa fin ?
L’élection politique est terminée. Il est désormais question d’une élection de développement. Que ceux qui sont dans la nostalgie arrêtent de rêver, car à Yopougon des choses qui étaient possibles il y 15 ans ne le sont plus aujourd’hui. Et la majorité de ceux qui votent aujourd’hui est jeune. Or les jeunes veulent tous le changement avec leurs mamans et tous les tontons de la commune. Lorsque mon cortège passe dans la commune, les femmes chantent à l’unisson « on a duré dans ça, on a duré dans ça « Hô ». Envoyez nouveau ». Et c’est bien moi le nouveau. Il n’y a pas d’autres. Cela est un processus irréversible dans notre commune. Que ceux qui ont fini leur période de transition prennent leur retraite et laissent les jeunes et les nouveaux visages prendre le relais. Je leur rends hommage pour le travail abattu mais l’heure du changement a sonné à Yopougon. A partir du 21 avril, je prendrai les rênes de la commune pour redonner à la Côte d’Ivoire un nouveau Yopougon sans distinction de race, d’ethnie, de parti politique.
Entretien réalisé par FRANÇOIS BECANTHY
A quelques jours de la fin de la campagne, quel bilan faites-vous de votre présence sur le terrain ?
Je voudrais vous dire que nous sommes effectivement présents sur le terrain à Yopougon, aux côtés de nos populations. Le bilan est positif. Nous avons fait une très bonne campagne. Nous avons opté pour une campagne de proximité et pour des contrats de confiance. Je vous informe que nous avons signé des engagements avec plusieurs groupes socioprofessionnels qui ont vu en nous le sérieux et la volonté du respect de ses engagements. Car il n’y a pas assez de candidats qui ont le courage de prendre des engagements écrits avec les populations. Nous, nous le faisons parce que nous savons que nous faisons toujours ce que nous disons et nous disons ce que nous pouvons faire. Et cette qualité, les populations l’ont si bien comprise.
Est-ce que ces atouts sont suffisants pour briquer la magistrature suprême de la commune de Yopougon ?
Mais Bien sûr. Je connais Yopougon. Et Yopougon me connaît. Ma popularité est indiscutable dans cette commune. Les jeunes et les femmes m’ont baptisé le maire « choco ». Je suis au “coï“ avec les jeunes chaque jour. J’ai grandi à Yopougon. Donc cette commune et moi avons une histoire que rien ni personne ne pourra jamais effacer. Et puis, mon élection viendra montrer que Yopougon n’est plus une cité de violence. Car, je suis un acteur de réconciliation. Yopougon qui a toujours été le théâtre des affrontements va retrouver la gaîté. Et aujourd’hui, parmi tous les candidats à Yopougon, je suis le seul qui pourra concilier toutes les tendances. C’est pourquoi je m’engage à redorer le blason de cette commune après mon élection.
Quel est le message fort que vous voulez que les populations de Yopougon retiennent de la campagne qui tire à sa fin ?
L’élection politique est terminée. Il est désormais question d’une élection de développement. Que ceux qui sont dans la nostalgie arrêtent de rêver, car à Yopougon des choses qui étaient possibles il y 15 ans ne le sont plus aujourd’hui. Et la majorité de ceux qui votent aujourd’hui est jeune. Or les jeunes veulent tous le changement avec leurs mamans et tous les tontons de la commune. Lorsque mon cortège passe dans la commune, les femmes chantent à l’unisson « on a duré dans ça, on a duré dans ça « Hô ». Envoyez nouveau ». Et c’est bien moi le nouveau. Il n’y a pas d’autres. Cela est un processus irréversible dans notre commune. Que ceux qui ont fini leur période de transition prennent leur retraite et laissent les jeunes et les nouveaux visages prendre le relais. Je leur rends hommage pour le travail abattu mais l’heure du changement a sonné à Yopougon. A partir du 21 avril, je prendrai les rênes de la commune pour redonner à la Côte d’Ivoire un nouveau Yopougon sans distinction de race, d’ethnie, de parti politique.
Entretien réalisé par FRANÇOIS BECANTHY