Municipales à Treichville : Amichia, en toute sérénité

L’heure pour les populations de Treichville, de confirmer leur choix, est arrivée. Ces trois derniers mois, les femmes mobilisées, venues des quatre coins de la commune, les jeunes, les chefs coutumiers, les militants de l’Udpci, Mfa, Pit, Upci, Udcy, Fpi et même du Rdr, ainsi que des leaders d’opinion et de groupements sociaux et économiques, n’ont cessé d’exprimer leur choix en soutenant, de jours comme de nuits, celui qui à leurs yeux incarne le développement, le progrès et de la cohésion sociale à Treichville. En effet, le candidat du Pdci et maire sortant, Amichia François, est assuré d’être réinstallé dans un fauteuil qui ne lui a véritablement jamais échappé : ‘‘ Chers parents, je vous ai écouté, sachez que j'ai compris vos attentes. Nous allons travailler pour améliorer votre condition de vie’’, ne cesse-t-il de rassurer partout où il est passé durant cette campagne électorale. Amichia se distingue surtout par son esprit d’ouverture, soutiennent ces proches. ‘‘Je ne suis pas le maire d’un parti politique ou d’une ethnie mais celui des Treichvillois, sans distinction aucune. Je travaille pour le développement et le bien-être de tous. Que les gens ne viennent pas détruire ce que nous avons mis du temps à construire. Préservons notre cohésion qui fait de notre cité un exemple de vivre ensemble’’, recommande-t-il. Pour leur part, ses administrés affirment régulièrement être ‘‘témoins de ses actions réalisées dans le sens du développement et de leur bien-être, et des prises en charges médicales et scolaires, les pèlerinages pour chrétiens et musulmans, l’assistance aux confessions religieuses, les subventions allouées aux personnes du 3e âge, la construction d’infrastructures, la médiathèque, l’unité de secours, le dispensaire municipal, les subventions aux centres de santé’’. Et de poursuivre : ‘‘ Que ceux qui ne savent rien de la gestion municipale arrêtent de nous conduire dans l’anarchie, la démagogie les amalgames, l’heure des conflits est dépassée. Nous sommes à l’heure de la reconstruction et de la réconciliation’’, peut-on entendre ici et là de la bouche de milliers de jeunes, femmes et adultes dans la vielle commune d’Abidjan. Ainsi donc, au soir du 21 avril, c’est justement cette reconnaissance que les différentes couches socio professionnelles de Treichville, sont décidés à traduire par un vote massif en faveur de leur champion, Amichia François.
T. Ange Désiré